Magnifiques parterres de roses à Solaris en Croatie.
Magnifiques parterres de roses à Solaris en Croatie.
Mercredi matin, dès 8 heures et malgré une pluie glaciale, il y avait de l’animation à La Noiraie, sur le site de l’entreprise Martineau. En effet, la « maison de bois » allait quitter son lieu de fabrication pour sa destination à La Roche-Racan.
Soulever ce superbe chalet pesant 5 tonnes 200, ne fut pas une mince affaire. Il a fallu les 2 manitous et plusieurs employés pour mener à bien le levage et déposer la construction sur le camion qui allait l’acheminer sur près de 3 km.
La traversée du village, malgré des arrêtés interdisant circulation et parking sur les voies empruntées, a connu quelques difficultés dues à la hauteur des fils téléphoniques qu’il a fallu soulever à chaque passage.
Enfin, après une heure de trajet, le convoi est arrivé à la Roche-Racan où des badauds s’étaient regroupés pour assister à l’évènement.
Midi ayant sonné, une pause a permis à tous les acteurs de se retrouver devant un pot offert par l’association « Les Amis de la vallée de l’Escotais » et d’écouter quelques discours avant que Pascal et Thomas Martineau ne remettent les clés à Jacky Orgeur, président de l’association.
L'après-midi fut consacrée au déchargement et à la pose de la "maison de bois" ce qui demanda, là encore beaucoup de précision.
Puis, le campanile fut installé sur le toit et les derniers fignolages reportés au lendemain.
L’idée de cette magnifique « maison de bois » est née il y a 18 mois, suite à un repas pris par Pascal Martineau à l’auberge de l’Escotais. Ce jour-là, Jacky Orgeur lui a demandé s’il pourrait construire un petit chalet pour abriter des informations à destination des touristes. Pascal a alors dessiné une première ébauche sur la nappe en papier. Mais, le site se trouvant à proximité du château de la Roche-Racan, il n’était pas possible de faire n’importe quoi. Et voilà comment ce premier croquis est devenu cet admirable chalet.
La volonté des « Amis de la Vallée de l’Escotais » c’est d’en faire une véritable vitrine de tout ce qui est et sera possible sur notre territoire.
L’association tient à remercier tous ceux qui ont gracieusement et financièrement apporté leur aide et leur soutien à la réalisation de ce futur « espace tourisme ».
- L’entreprise Pascal et Thomas Martineau pour la réalisation du chalet
- L’entreprise Vincent Boigard, pour le transport
- L’entreprise Dousset Matelin pour le transport
- L’entreprise Sébastien Bouchet, pour l’aménagement intérieur
- L’entreprise Métal 2000 pour le mobilier extérieur
- Point P
- L'auberge de l'Escotais pour la mise à disposition du terrain
- Le Petit Courrier pour les nombreux articles consacrés à cette maison de bois
- La commune de Saint-Paterne pour la mise à disposition des employés communaux pour la circulation
- La communauté de communes de Racan pour les aides apportées pour l’aménagement du site.
« Grâce à ce point d’information, notre territoire va pouvoir s’ouvrir vers le Loir. Le fait que la CCR ait fait la démarche d’adhérer à l’ADVL montre une volonté des élus de se tourner vers la Vallée du Loir et le potentiel touristique qu’elle génère. Le fait d’avoir beaucoup d’entreprises locales permet de lutter contre « la dortoirisation » de nos villages » confie Marc Michel, secrétaire de l’association pour conclure.
Samedi dernier, la fédération départementale des associations agréées pour la pêche et la protection du milieu aquatique (AAPPMA) se tenait à l’espace multimédia de Saint-Paterne-Racan. Pratiquement toutes les associations du département étaient représentées. M. Jacky Marquet, nouveau président de la fédération départementale, ouvrit la séance et remercia la municipalité de Saint-Paterne-Racan et l’AAPPMA de St Christophe-St Paterne pour la qualité de l’accueil qui leur a été réservé au Pays de Racan.
Il laissa ensuite la parole à M. Christian Madieu, président de l’association « Les pêcheurs de l’Escotais » qui remercia bien sûr les élus de St Paterne pour leur soutien mais aussi la fédération 37 d’avoir choisi le Pays de Racan pour y tenir son assemblée générale annuelle.
Il rappela qu’ « en 1971, du temps de M. Pichon, mon prédécesseur, la fédération était venue à St Christophe, date de mon entrée dans l’AAPPMA, et également, en 1994, pour l’inauguration de la salle Beau-Soulage. C’est donc la 3ème fois que vous venez mais cette fois-ci, c’est à St Paterne. Cette année 2012 marque les 80 ans de l’AAPPMA des Pêcheurs de l’Escotais. » Petit historique rapide de l’histoire de l’association : « Elle a une petite particularité ; en 80 ans, elle n’a connu que 3 présidents : le 1er n’a tenu que 4 ans, le second, M. Pichon est resté 45 ans et le 3ème, votre serviteur, qui est là depuis seulement 31 ans ! Comme quoi, quand on a la pêche, tout est possible ! Aussi, je vous donne rendez-vous dans 20 ans pour fêter le centenaire de l’AAPPMA, à St Christophe ou à St Paterne. On verra.»
Le rapport moral fut ensuite présenté par le président, Jacky Marquet qui fut « pendant 20 ans président d’une association sans aucune trace de lassitude. Pour cela, la recette est simple : la passion. »
En quoi les AAPPMA ont-elles un rôle important à jouer ?
- pour stopper la dégradation de la ressource et des effectifs et placer l’écosystème au premier plan d’une bonne gestion de l’eau
- pour assurer une gestion durable du milieu aquatique et de ses habitats
- pour promouvoir la pratique d’un loisir social, assurer un rôle écologique et participer au développement économique
Il termina son rapport moral par ces quelques mots : « Quant au pêcheur, il devra se doter d’un code de l’éthique basé sur le respect de l’environnement et du patrimoine collectif… À puiser sans épuiser en dépassant d’ailleurs le simple contexte de la pêche, mais du simple citoyen que nous sommes tous. »
Ensuite, le secrétaire, Joël Galland, présenta le rapport d’activités 2011
- obtention d’un moratoire de 2ans pour la protection du sandre et du black-bass (pêche interdite du 1er avril au 31 mai)
- les problèmes liés aux PCB : baisse de 30% entre les années 80 et aujourd’hui. Poursuite des recherches sur d’autres composés persistants (composés fluorés et chromés)
- les traces de médicaments : un projet « Armistiq » visera à améliorer les traitements dans les stations d’épuration
- l’étude menée par des chercheurs britanniques qui établit un lien entre la présence de polluants chimiques de type « œstrogènes » et la « féminisation » de poissons mâles (1000 poissons/30 rivières) qui entraîne des problèmes de reproduction de certaines espèces.
Les différents invités ont pris la parole avant que Serge Barthélémy, directeur de la fédération départementale, n’évoque les différents types de partenariat tant nationaux que départementaux ou locaux. Il présenta le 1er ponton handipêche labellisé pour les 4 handicaps moteurs. Il est situé à St Pierre des Corps. Des demandes d’agréments sont en cours « éducation populaire » et association de protection de l’environnement ».
Le bilan financier présenté par Guy Boyard, trésorier, et Joëlle Hany, fait ressortir un déficit moindre que celui de 2010 grâce à des économies réalisées sur les dépenses et une baisse du nombre de cartes moins prononcée qu’au cours des années précédentes.
Les projets pour 2012
- Validation d’un outil de travail à usage départemental dans le cadre de la mise en œuvre du Schéma National de Développement du Loisir Pêche
- Mise en œuvre au niveau départemental des principes et des actions de développement de l’offre d’accès au loisir pêche (découverte, accueil, formation, promotion, communication)
- Mise en place d’une commission fédérale et de groupes de travail pour l’élaboration du Schéma Départemental de Développement du Loisir Pêche et de son suivi
Le projet finalisé s’articulera autour des actions suivantes :
Dans le fonctionnement
- maintien des déversements de brochet
- projets de production de sandres et de black-bass
- développer la formation des GPP et des élus
- création de plans d’eau à thème
- associer les associations à la gestion de certains plans d’eau
- faire vivre le site Internet
Dans le développement :
- Maintenir l’accès aux rivières comme le prévoit la circulaire ministérielle du 8 mars 2011 article 7
- Mettre en place des ateliers Pêche Nature (APN), créer des parcours labellisés
- Réorganiser l’offre de plan d’eau, en restructurant leur nombre et leur population
- Création d’un PDIPN, vitrine de la pêche et de l’eau en Indre-et-Loire, véritable maison de la pêche
Au centre, le président départemental, Jacky Marquet, avec à sa droite, Christian Madieu, pour Les Pêcheurs de l'Escotais, et à sa gauche, Michel Georget, pour l'AAPPMA de Neuvy-le-Roi
Avant que ne se termine cette assemblée générale, M. Henri Zamarlik, maire de la commune et conseiller général, remit la médaille du conseil général à Christian Madieu en remerciement au travail qu’il effectue depuis tant d’années pour l’entretien de la rivière avec les membres de son association et en souvenir de sa venue à Saint-Paterne, il offrit à Jacky Marquet un buste de Racan.
L'heure des récompenses et les heureux récipiendaires
Le bâtiment lors des travaux
Samedi, en fin de matinée, une animation inhabituelle régnait aux environs de la mairie et la rue de la gare était sous haute surveillance par un nombre impressionnant de gendarmes des brigades d’alentour.
Il faut dire que des personnalités d’importance étaient attendues : M. le Préfet, une secrétaire d’état, un député, des représentants du conseil régional et du conseil général, la directrice de la CAF et de nombreux élus du territoire pour un évènement exceptionnel : l’inauguration du CLSH de Saint-Paterne-Racan (Centre de loisirs sans hébergement).
Vers 11 heures, les premiers hôtes attendus commencèrent à arriver et M. Zamarlik, maire de St Paterne, ceint de son écharpe tricolore, leur souhaitait la bienvenue en insistant toujours sur la situation en zone rurale du territoire et des nombreuses démarches à faire pour que les habitants puissent accéder à un mode de vie et à des structures dont les besoins sont identiques à ceux des zones plus favorisées.
Avant de pouvoir pénétrer dans les locaux pour la visite, il a fallu couper le ruban symbolique placé à l’entrée. Claude Greff, secrétaire d’état à la famille et « à la petite enfance » comme elle a tenu à le souligner, se prêta de bonne grâce à cette tradition et distribua des morceaux de ruban à quelques personnes présentes tandis que Philippe Briand, député de la circonscription, en faisait une écharpe à la petit Blandine en lui disant : « Va voir M. Zamarlik et dit lui que maintenant c’est toi le maire ».
Puis tous entrèrent dans le bâtiment qui abrite donc le CLSH mais aussi le RAM de Racan et le REAAP qui fait un gros travail au niveau de la parentalité. Ce regroupement de services présente des avantages pour les familles et permet de mutualiser les équipements intérieurs d’où une économie incontestable.
M. Zamarlik précisa que cette réalisation qui utilise un ancien logement de fonction pour les enseignants se situe à proximité des services communaux, des écoles, de la cantine et de la garderie périscolaire. Martine Chaigneau, vice-présidente du conseil général, rappela : « J’ai été institutrice à Saint-Paterne et j’ai enseigné dans la classe en face mais, à l’époque, je ne pouvais pas voir ce superbe bâtiment. En milieu rural, il faut penser aux familles qui viennent s’installer et aux structures que l’on peut offrir à leurs enfants. »
Ce bâtiment en pierres de taille a servi de base à la construction de salles d’activités avec cloisons mobiles et s’intègre bien avec les constructions traditionnelles de « cœur de village ». Dans la démarche d’Agenda 21, les extensions ont été construites en bois avec isolation phonique et thermique. Le toit est végétalisé afin de tempérer le bâtiment et un chauffe-eau solaire a été installé.
Tout le monde a pu apprécier l’aménagement des différentes salles accueillant les activités des enfants. Un baby-foot a tenté M. Jean-François Delage, nouveau préfet d’Indre-et-Loire, qui échangea quelques passes avec un jeune garçon et tout heureux marqua le but. « Voyez, je n’ai pas perdu la main ».
La visite terminée, un autre moment fort, avant les discours, marqua cette fin de matinée. Ce fut celui où l’on dévoila la plaque apposée sur le mur. À son apparition, les gens se mirent à applaudir et M. Zamarlik dit : « Je vous expliquerai tout à l’heure pourquoi avoir choisi le nom "Le chat vert" »
Lors de son discours, M. le Maire ne manqua pas de remercier toute son équipe et les employés communaux pour le soutien apporté et les travaux réalisés au cours de ce qu’il appelle en souriant « "un vrai parcours du combattant" pour se conformer aux législations et aux réglementations, très nécessaires puisqu’elles permettent d’assurer l’exercice des activités dans les meilleures conditions de sécurité et de tranquillité sous la houlette des services de l’ÉTAT , du CG et avec l’aide de la CAF. » Se tournant vers la sous-secrétaire d’état, il insista sur le fait que « Depuis des années tout le monde parle de simplifications administratives. On veut simplifier, je le rappelle, mais rien n’est fait en ce sens. » et il ajouta en direction de Mme Sylviane Besson, directrice de la CAF : « Mme la Directrice, merci d’apporter votre appui, pour tous les citoyens dans cette noble tâche. »
Ce à quoi elle répondit : « C’est un plaisir pour moi de participer à une inauguration comme celle-ci. Notre but, c’est de pouvoir offrir aux jeunes un lieu pour leur épanouissement, leur éducation, leur apprentissage à la citoyenneté. Sur votre territoire, il y a 450 enfants entre 6 et 11 ans. Il faut songer à un projet novateur pour les jeunes ados qui sont 350 sur votre secteur. Il faut impliquer les parents dans la structure.»
Et Henri Zamarlik de poursuivre « C’est surtout une aventure qui regroupe les efforts de nombreux bénévoles, d’associations, de salariés, d’élus et des administrations, sans oublier les parents et même les enfants. »
Un petit rappel historique nous ramena 20 ans en arrière.
C’est en 1990, que fut créée l’Association avec « Familles Rurales » pour les enfants de 4 à 12 ans. Cette association est née d’une mobilisation collective qui répondait aux besoins ponctuels de garde et de loisirs. Les mamans travaillaient, le territoire était déjà en Zone rurale avec des emplois dans les activités agricoles, pommes et champignons. Ces zones sont devenues plus tard Européennes 5b et maintenant ZRR. Grâce à Mme Brigitte Orgeur, présidente de l’association, un centre de loisirs, ouvert l’été, a commencé à fonctionner. N’oublions pas que le pouvoir d’achat est faible en ZR (zones européennes et ZRR.).
10 ans se passent puis en 2003, l’activité du centre est étendue aux ados, les 13 – 17 ans. En 2004, il connaît un succès fou : les enfants viennent de nombreuses communes voisines. La mairie signe le Contrat Temps Libre avec la CAF et la DDJS. Un partenariat plus étroit est instauré avec la commune et l’association. Le conseil régional participe à la création d’un poste.
Le centre est alors ouvert aux petites vacances. En 2005-2006, avec l’accueil libre des ados au multimédia, inauguré en 2005, une activité communale nouvelle s’instaure. Puis, en 2010, arrive le regroupement et l’activité est reprise par la communauté de communes de Racan pour le fonctionnement, avec plusieurs directeurs M. Rafiq, Mmes Boireau et Guillon.
« Le but, que nous avons toujours recherché, est que les enfants ou les jeunes, suivant l’âge concerné, puissent s’épanouir hors du cercle familial, grandir par leur créativité, non pas seuls mais accompagnés par toute une structure, par tout un personnel qualifié et enthousiaste : directrice, animateurs, durant les petites et grandes vacances et les mercredis, avec une restauration à la cantine toute proche.
Ce projet est donc le fruit d’un partenariat étroit entre la commune, l’État et la CAF pour mettre des locaux adaptés à disposition, les meubler et les entretenir, fournir les moyens des activités, les jeux et accessoires, rémunérer les animateurs avec l’aide de la DDCS, ancienne DDJS et de la CAF.
Je crois que le résultat, vous en conviendrez est particulièrement réussi : des salles grandes et claires, des espaces ouverts et sécurisés, un environnement véritablement privilégié au centre du village utilisant l’ancien logement d’instituteurs construit vers 1900 !!!, pas loin de la salle des fêtes, de la bibliothèque, de l’espace multimédia, du gymnase, du terrain de sports et de la piscine intercommunale qui sert maintenant aux enfants des autres communes.»
M. Villeret, architecte, a marié l’ancien et le neuf, la HQE et les énergies nouvelles. Cet immeuble, Œuvre originale et Travail original, a été présenté lors d’une réunion des architectes de la région centre à Tours pour l’utilisation du bois. « Sur St Paterne, nous nous intéressons depuis des années au développement durable, en particulier, en tant que président du Pays et vis-à-vis de l’Agenda 21 que nous avons commencé dans notre commune. Nous avons plusieurs projets sur le plan communal. »
Mais, le discours avance et nous ne savons toujours pas pourquoi « Le chat vert » ? M. Zamarlik donne enfin la clé de l’énigme !
« Enfin Je tiens mes promesses. Pour revenir à mon propos, en plus d’une architecture originale, bien intégrée dans le paysage et le village, nous lui avons donné un NOM original qui a fait rêver des générations de petits et grands, par sa couleur et pour l’animal.
C’est une façon d’attirer l’attention des enfants, d’avoir leur écoute et de les faire rêver.
Grâce à cela, ils développent leur imagination, brodent. Nous sommes tous de grands enfants aussi. C’est une histoire qui se raconte depuis plus de 30 ans et même des grands-mères y croient dans le pays de Racan !!! .
Le poète Racan fut appelé par Richelieu pour siéger à l’Académie Française, lors de sa création en 1635. Ils avaient un point commun : ils avaient tous deux des chats. Nous, ici, on a Le Chat Vert. C’est tout un symbole et il existe …..On a dévoilé sa silhouette, il y a quelques minutes. Il a séduit des générations d’enfants et de parents aussi. On vient de dévoiler la plaque. Le chat est un animal sage, gentil et utile. Par sa couleur, il nous rappelle que l’écologie doit être au centre de nos préoccupations quotidiennes.
Ce familier animal
Ne fait jamais de mal
Il est très gentil
Toujours très gentil
Comme le chat de Racan
Il est toujours allant
Et souvent ronronnant. »
Après avoir laissé la parole aux différentes personnalités, un verre de l’amitié clôtura cette sympathique manifestation.
Le montant des travaux s'élève à 666 561,68 €.
Si le détail vous intéresse, cliquez ici.
Vendredi dernier, l'école des Tilleuls de Neuvy-le-Roi a vécu un moment important pour les élèves et leurs enseignants. L'Inspecteur d'Académie, M. Guy Charlot, avait fait le déplacement pour venir inaugurer l'installation d'une nouvelle ENR (école numérique rurale).
Le tableau numérique est désormais à la disposition des enfants fréquentant l'école des Tilleuls.
La magie du tableau numérique
"On peut se servir d'Internet et c'est un écran géant ! " ont souvent répondu les enfants à Guy Charlot, Inspecteur d'Académie, venu inaugurer le tableau numérique, ce nouvel outil pédagogique qu'ont salué les instituteurs : "C'est une aide utile mais le tableau ne corrige pas les erreurs, alors nous serons toujours indispensables ".
Les personnalités présentes autour de Patrick Cintrat et de Guy Charlot
Ce tableau, bijou de l'électronique, a coûté près de 17.000 €, dont une subvention d'état de 9.000 €. "L'accès aux nouvelles technologies et au savoir est indispensable pour nos zones rurales", a rappelé Patrick Cintrat, maire de Neuvy-le-Roi, avant de conclure : "Notre école doit être une école vivante".
Guy Charlot a quant à lui insisté : "Il faut repenser l'école en milieu rural", avant de préciser : "Le diplôme reste le meilleur rempart contre le chômage".
"L'élément fondamental de la réussite de l'école demeure l'entente entre équipe municipale, équipe enseignante et parents d'élèves" ont conclu les participants à cette inauguration.
(photos : Alice Charron)
Depuis début septembre, les véhicules du centre de secours de St Paterne sont alignés à l'extérieur, des travaux de remise aux normes ayant été entrepris par le SDIS pour un montant de 280 000 €. Au départ les travaux étaient estimés à 300 000 € et devaient commencer en juin. Mais, des négociations ont été engagées pour renégocier les prix : résultat gain de 20 000 € et retard de 3 mois pour le démarrage. Temps prévu pour la réalisation : 6 mois.
La remise aux normes concerne les sanitaires et les vestiaires. Une séparation entre femmes et hommes bien compréhensible mais aussi entre filles majeures et filles mineures alors que les jeunes garçons sapeurs pompiers sont mélangés aux hommes adultes. Une aberration qu'a fait remarquer Francis Paulé, c'est l'obligation d'une toilette handicapée alors qu'un pompier présentant le moindre petit handicap ne peut pas être incorporé chez les pompiers.
Cette remise aux normes induit la création d'une travée spéciale pour le VSAV (l'ambulance).
Au bout de cette travée, l'aménagement d'un coin hygiène pour le nettoyage du matériel contenu dans l'ambulance est très apprécié par le chef des pompiers.
Dans le local réservé aux véhicules, on est surpris par la présence d'une porte à l'étage.
Francis Paulé explique que c'est l'amicale qui a financé cette ouverture ainsi que l'escalier qui sera installé pour avoir un accès direct au foyer, coin convivial, qui jouxte la salle de cours et de formation. Entre les deux pièces, une baie a été percée et ce sont les pompiers bricoleurs qui ont réalisé l'huisserie qui permettra de fermer cette ouverture.
L'architecte, M. Gandais, technicien territorial conducteur des travaux, assure que le chantier suit son cours et n'a pas pris de retard.
Malgré ces propos rassurants, il n'est pas certain que la Sainte Barbe puisse avoir lieu cette année. Rien n'est encore décidé à ce jour.
Les réhabilitations des centres de secours sont financés aux 2/3 par le conseil général et pour le 1/3 restant par la contibution des communes au SDIS.
20 heures, un bruit venant de l'extérieur nous interpelle. C'est une montgolfière tout près de la maison. Elle descend de plus en plus et se pose dans un pré à la Massicaudière.
Ce bel oeuf tout bleu venait du comice agricole de Vouvray-sur-Loir, dans la Sarthe.
Maintenant, il faut la plier et rentrer sur Flée où se trouve son propriétaire.
Anne Hall, membre de l'association "Histoire et Patrimoine" de Saint-Christophe-sur-le-Nais, vient, avec les Éditions Cherche Lune, de publier un livre intitulé "Sur les traces de Daphné du Maurier, Au Pays des souffleurs de verre"
Samedi 10 avril, c'était la sortie officielle du livre, dans la commune du Plessis Dorin, en Eure-et-Loire, où, jusqu'en 1936, fonctionna une verrerie.
Quelques membres de l'association christophorienne étaient présents à cette sympathique manifestation.
La très jolie église du Plessis Dorin où se déroula le début de la manifestation.
Superbe caquetoire à l'entrée de l'église.
Magnifique lustre, oeuvre de la verrerie du Plessis Dorin
Ensuite, tout le monde se transporta à Beaulieu-Loisirs, où attendaient M. et Mme Loisel, pour une présentation de l'ouvrage et une séance de dédicaces.
Anne dédicace son livre à Fabrice, vice-président d'"Histoire et Patrimoine".
Une présentation du livre avec l'auteur et les éditeurs aura lieu à Saint-Christophe-sur-le-Nais. La date n'étant pas encore connue, vous en serez informés en temps utile.
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.