
Le cadre est agréable. Venez nombreux encourager les organisateurs !
Entre 2001 et 2008, de nombreux travaux ont été réalisés pour offrir aux enfants et à leurs enseignants un cadre de vie agréable. Ce furent d'abord la construction et l'équipement en mobilier et matériel de l'école maternelle.
Ensuite, en répartissant les travaux sur deux budgets et avec subventions du Conseil Général, ce sont les quatre classes du bâtiment attenant à la mairie qui furent rénovées : peinture, chauffage, mobilier, équipement informatique, ...
Ce qui suit est le fruit d'une grande amertume et d'une profonde révolte face au pouvoir absolu.
Saint-Christophe, cité dans le dépliant des circuits touristiques du Pays Loire Nature comme un village d'exception (pour combien de temps encore dans le bon sens du terme ?), a vu depuis le recensement de 1999, sa population passer de 973 habitants à près de 1 100 aujourd'hui. L'effectif scolaire a bénéficié de cet apport et en 2005, une cinquième classe a donc été ouverte, permettant d'alléger les effectifs de chaque classe et de permettre des rapports plus privilégiés entre les enfants et leurs maîtres.
Cette cinquième classe risque fort d'être remise en question, peut-être pas pour la rentrée 2008 (et encore...) mais pour celle de 2009, c'est à peu près certain ! Pourquoi ?
A la rentrée prochaine, l'école pourrait perdre 6 élèves : 2 départs dans le privé et 4 (2x2) du fait que le maire ne veut pas qu'ils restent sur l'école de la commune car les parents ne résident plus sur St Christophe. (Conseil Municipal du 13 août dernier)
Au mois de juin, un des points à l'ordre du jour, concernait la scolarisation dans l'école communale d'une fillette demeurant désormais à St Paterne. La décision de lui permettre de poursuivre sa scolarité ici fut acceptée à l'unanimité. Ce qui ne peut qu'aider l'enfant au niveau de sa réussite scolaire. Pourquoi les cas évoqués en août, séance à laquelle les quatre élus d'opposition étaient malheureusement absents, se voient-ils opposer un veto ?
Que dit la loi à ce sujet ?
Article L212-8 du Code de l'Éducation
Modifié par Loi n°2005-157 du 23 février 2005 - art. 113 JORF 24 février 2005
.....
Cet article se termine par le paragraphe ci-dessous qui s'applique aux enfants concernés par les décisions municipales du mois d'août.
La scolarisation d'un enfant dans une école d'une commune autre que celle de sa résidence ne peut être remise en cause par l'une ou l'autre d'entre elles (les communes) avant le terme soit de la formation préélémentaire, soit de la scolarité primaire de cet enfant commencées ou poursuivies durant l'année scolaire précédente dans un établissement du même cycle de la commune d'accueil.
En effet, la fillette autorisée à continuer sa scolarité à St Christophe était en CE2 mais il en est de même pour deux des autres enfants (passage en CM1 à la rentrée donc poursuite du cycle 3) et un enfant doit entrer au CP (poursuite du cycle 2). Pour le 4ème, son frère pouvant, au vu de la loi, poursuivre sa scolarité, même s'il débute un nouveau cycle (entrée au CE2), l'alinéa suivant joue en sa faveur :
Par dérogation .....lorsque leur inscription dans une autre commune est justifiée par des motifs tirés de contraintes liées :
2° A l'inscription d'un frère ou d'une soeur dans un établissement scolaire de la même commune.
(L'habitude étant de respecter une fratrie bien évidemment.)
Pourquoi à St Christophe, cette discrimination ? Pourquoi pour certains on applique la loi et pas pour les autres ? Comment expliquer une telle injustice à des enfants ?
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
1. HORAIRES ÉCOLE
En conformité avec les textes officiels, l’école proposera à la rentrée, avec l’accord des parents, une aide personnalisée aux élèves rencontrant des difficultés d’apprentissage. Cela implique de modifier l’organisation de la semaine scolaire, qui serait désormais la suivante :
- jours et heures de classe :
Horaires |
| Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Total |
Classe | Matin | 8h45-12h | 8h45-12h |
| 8h45-12h | 8h45-12h | 24h |
| Après-midi | 13h30-16h15 | 13h30-16h15 |
| 13h30-16h15 | 13h30-16h15 |
|
Aide |
|
| 16h15-17h |
| 16h15-17h |
| 45mnx2=1h30 |
- cette aide débuterait au mois d’octobre et prendrait fin au mois de juin et concernerait les élèves de la moyenne section au cm2,
- elle prendra la forme de 2 séances de 45 mn par semaine, menées par les enseignants de l’école,
- un bilan de cette aide (utilité, reconduction ou non…) sera fait à la fin de chaque période (Toussaint, Noël, février, Pâques, juin) (ex : un enfant pourrait ne bénéficier d’une aide que sur une ou 2 périodes de l’année).
2. RENOUVELLEMENT CONTRATS EMPLOYÉS
- Mme BOURGES Diane :
M. le Maire renouvelle pour une période d’un an, par avenant, le contrat d’emploi d’Adjoint Technique de 2ème classe de Mme BOURGES Diane arrivant à son terme le 1er août 2008 et créé dans les conditions fixées par délibération en date du 1er mars 2006.
- Mme ROUSSEAU Laetitia :
M. le Maire renouvelle pour une période d’un an, par avenant, le contrat d’emploi d’Adjoint Technique de 2ème classe de Mme ROUSSEAU Laetitia arrivant à son terme le 3 septembre 2008 et créé dans les conditions fixées par délibération en date du 7 juin 2006.
- M. AUDENET Thibault :
La période de stage de l’Adjoint Technique de 2ème classe, M. AUDENET Thibault, arrive à son terme le 11 août 2008. Soit il peut être titularisé, soit il fait l’objet d’une prolongation de stage ou d’une non-titularisation et, dans ce cas, il appartient au maire de saisir la C.A.P. (Commission Administrative Paritaire) compétente, au moyen d’un rapport circonstancié auquel sont annexées les pièces justificatives ainsi que la fiche d’évaluation du stagiaire. Les membres de la C.A.P. s’appuieront alors sur cette fiche pour émettre un avis circonstancié.
M. le Maire décide de prolonger d’un an le stage de M. AUDENET Thibault, dans le grade d’Adjoint Technique de 2ème classe, compte tenu du fait qu’il n’a effectué aucune formation depuis son entrée dans la fonction publique territoriale le 12/08/02.
Mme Royer explique que l’ancien Conseil Municipal s’était renseigné afin que M. AUDENET puisse faire des formations mais que, celles-ci étant programmées pendant les heures de travail de l’employé ou pendant les vacances scolaires, il n’avait pu en faire.
Elle signale également que la commission GRH aurait dû se réunir pour discuter du renouvellement de ces différents contrats mais M. le Maire lui a coupé la parole en disant que ce point était clos.
3. RENOUVELLEMENT CONTRAT CANTINE
Le contrat de livraison des repas à la cantine scolaire conclu avec la société J.M.G., arrivant à son terme à la fin du mois de juillet 2008, doit être renouvelé. Les tarifs applicables à compter du 1er août 2008 sont les suivants :
- Tarif maternelle et primaire : 2,27 € HT soit 2,40 € TTC,
- Tarif adulte : 2,54 € HT soit 2,68 € TTC.
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité, décide :
- d’autoriser Monsieur le Maire, à renouveler le contrat de la société J.M.G.,
- de fixer les tarifs des repas pour les adultes à 3,80 € et pour les maternelles et primaires à 3,40 €.
6. CHEMIN RURAL DES RUETTES
Lors de la précédente réunion, plusieurs conseillers avaient signalé avoir constaté la dangerosité du ponceau des Ruettes. Monsieur le Maire a fait intervenir le Syndicat des Cavités et leur rapport stipule que le tuffeau, en voûte du caveau Sud, est fortement altéré et pénétré de racines. En outre, les eaux ne sont pas bien dirigées, le fontis tend donc à se développer et à fragiliser le chemin rural. Il préconise de renforcer le chemin en comblant ce caveau, avec un béton maigre, après avoir élevé un mur plein entre les deux parties de la cave. Le volume de comblement se situera entre 10 et 15 m3. En outre, il conseille de refaire le chemin, de façon à établir une contre pente, permettant de canaliser les eaux côté Est et de les évacuer en aval, sans qu’elles ne puissent déborder sur les parcelles voisines. La partie Nord de la cave, quant à elle, devra être surveillée, mais l’épaisseur de recouvrement et la nature des matériaux leur paraissent satisfaisantes pour assurer la sécurité du chemin qui n’est utilisé que par les piétons.
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité, décide de faire renforcer le chemin en comblant le caveau avec un béton maigre après avoir élevé un mur plein entre les deux parties de la cave et de refaire le chemin de façon à établir une contre pente.
8. EAUX PLUVIALES PLACE JEHAN D’ALLUYE
M. le Maire demande à M. Rullon Jean-Michel, partie prenante dans cette affaire, de sortir de la salle.
Dans le contentieux opposant M. Rullon à la Commune concernant l’évacuation des eaux pluviales de la Place Jehan d’Alluye, le rapport provisoire d’expertise mandaté par l’avocat de M. Rullon préconise des travaux pour un montant de 32 385 € HT et ce dernier demande si la commune accepte de les effectuer.
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité, décide de ne pas effectuer les travaux préconisés par l’avocat de M. Rullon.
13. PLAINTES
M. le Maire fait part d’une plainte pour la divagation des chiens de M. Odobert. La Gendarmerie a été contactée.
M. le Maire donne lecture de deux lettres d’habitants de la commune se plaignant de la dangerosité des carrefours av. Hilarion-Pl. d’Alluye et rue E. Leport-rue du Val Joyeux du fait de l’implantation d’arbres gênant la visibilité des dits carrefours. La possibilité d’accidents pour manque de visibilité étant évoquée par de nombreux plaignants, pour les éviter et éviter que la responsabilité civile de la commune et pénale du Maire ne soient engagées, M. le Maire informe le Conseil Municipal qu’il va faire supprimer certains arbres et végétation gênants. Le S.T.A. sera consulté pour la signalisation.
Suite à cette annonce, M. Tondereau déclare qu’après le départ du Maire actuel, il avait peur que la Commune ne se retrouve comme Oradour-sur-Glane. M. le Maire et M. Meunier jugent cette comparaison scandaleuse.
15. QUESTIONS DIVERSES
- Cofiroute
M. le Maire fait par aux membres du Conseil Municipal de la dépose d’une déclaration préalable relative à l’ajout d’un bâtiment sanitaires sur la plateforme de la barrière de péage de St Christophe. Le dossier est consultable en Mairie.
M. le Maire précise également que Cofiroute va verser à la Communauté de Communes de Racan 60 000 € de taxe professionnelle et que le montant va certainement doubler compte tenu de la fréquentation de l’A28 ce qui lui paraît regrettable puisque, si la Commune n’avait pas adhéré à celle-ci, la taxe professionnelle serait revenue pour partie à la commune qui en a bien besoin actuellement.
Mme Royer stipule que le Préfet avait obligé toutes les communes à adhérer avant fin 2001 à la communauté de communes mais M. Poussin insiste sur le fait qu’il n’y avait pas d’obligation et que d’autres communes du département et en France n’étaient pas adhérentes à une communauté de communes.
Si vous désirez prendre connaissance de l'intégralité des comptes-rendus des séances du Conseil Municipal, sachez qu'ils sont consultables en mairie.
Avant de discourir de nouveau, je vous demande de bien vouloir excuser mon mutisme des jours précédents. Période estivale et de migration, j'en ai profité pour changer un peu de région et aller découvrir une partie de notre beau pays qui m'était encore inconnue : le Morvan. Une des visites que j'ai eue l'occasion de faire sur cette terre riche de souvenirs relatifs à un de nos Grands Hommes qui présida aux destinées de la France durant deux septennats est à l'origine de ce qui suit.
2001 - 2008 : Sept années de mandat, fait jusqu'alors inédit depuis l'avènement du suffrage universel dans les élections municipales et avant également ! Nous avons donc, comme précédemment les Présidents de la République Française, effectué un septennat.
Le nôtre fut moins riche en cadeaux de toutes sortes que ceux que vous allez pouvoir découvrir dans les quelques photos ci-dessous prises au Musée du Septennat, à Château-Chinon.
Un salon en marquetterie, incrusté de nacre.
Une table de jeu.
De la belle ouvrage !
Souvent luxueux, les cadeaux d'apparat offerts par les chefs d'état étrangers sont en général des produits d'artisanat d'art de haut niveau et proviennent de manufactures de renommée mondiale. Ils traduisent le savoir-faire de leur pays mais illustrent aussi les moeurs et habitudes dudit pays. Voyez ci-dessus, comment on se doit de respecter son maître. Ceci a-t-il totalement disparu dans les pays qui se veulent évolués ?
Parmi les multiples cadeaux exposés, on trouve aussi des pièces originales fabriquées en France et offertes au chef de l'état.
Cette roue aux 2000 rayons a été offerte au musée de Château-Chinon par la famille de son réalisateur, William Robin, en signe d'admiration et de gratitude envers M. François Mitterrand.
Ci-dessous, une oeuvre originale datant du milieu du XVIIIème siècle, ancêtre de notre bicyclette, moyen de déplacement sportif et écologique. A notre époque, c'est important d'y penser !
Vous n'avez ici qu'un minuscule aperçu des objets reçus au cours des deux septennats. Dans les nombreuses salles d'exposition qui occupent l'ancien couvent Ste Claire construit au XVIIIème siècle, des céramiques, pièces d'argenterie et d'orfèvrerie, dessins, gravures, tapisseries, tableaux venant des cinq continents, témoignent des relations privilégiées de la France et de son Président avec de très nombreux pays.
Et alors, à Saint-Christophe, me direz-vous ? Quels cadeaux avez-vous reçus au cours de votre septennat ?
Je vais être très brève là-dessus. Déjà, pas de voyages qu'ils soient d'études (comme ce fut la mode à une époque) ou non. Au niveau des cadeaux, pas de quoi créer ou alimenter un musée. En guise d'alimentation, seules des boîtes de chocolats, offertes par quelques entreprises travaillant pour la commune, permettaient au moment des Conseils Municipaux de début d'année, de terminer agréablement la soirée, tous ensemble, en poursuivant quelques discussions sur des sujets où tout le monde n'était pas forcément d'accord. Il y eut aussi quelques rares bouteilles qui n'ont, de par leur nombre, grossi que très peu la cave communale.
La richesse retirée de ce septennat ne se mesure pas en babioles ou autres objets précieux, mais par le contact avec la population, les représentants des autres communes et tous les apprentissages qu'on a pu et su acquérir progressivement pour soi et pour autrui. Ce n'est pas le pouvoir à tout prix et sans partage mais au contraire l'ouverture vers les autres.
C'est la conclusion que je tire des sept années du mandat écoulé !
Après la découverte d'une partie du patrimoine religieux, je vous emmène sur les traces des seigneurs, voire des envahisseurs, qui nous laissèrent, souvent juchés sur les hauteurs, des édifices (forteresses ou résidences) qui témoignent que le Lot était une voie de pénétration et qu'il fallait donc se protéger.
Cahors
Le pont Valentré constitue une très belle représentation de l'art militaire du 14 ème siècle. Son aspect a été un peu modifié lors de sa restauration en 1879 par Viollet-le-Duc.
De la ligne des remparts, doublée vers 1340, subsistent quelques vestiges dont la porte St Michel qui sert d'entrée au cimetière.
La barbacane, élégant corps de garde, protégeait la porte de la Barre et la tour St Jean ou tour des Pendus.
Tour St Jean ou Tour des Pendus.
Le château du Roi qui sert aujourd'hui de prison.
Belaye
Village perché au sommet d'une haure falaise dominant le Lot, Belaye était intégré au fief des évêques de Cahors.
Du château de l'évêque, il ne reste que le mur méridional.
Grézels
Le château de La Coste fut construit au 12ème siècle et transformé en château fort pendant la guerre de Cent Ans. Restauré aux 14ème et 16ème siècles, il tomba à l'abandon après la révolution. Il abrite de nos jours un musée du vin.
Puy-l'Évêque
Vue générale de la ville construite au bord du Lot.
Le donjon, seul vestige du château épiscopal, il remonte au 13ème siècle.
Luzech
Construite dans un cingle (méandre) du Lot, Luzech est couronnée par son donjon du 12ème siècle.
Château de Roussillon
Située au nord de Cahors, au-dessus d'un vallon, cette forteresse médiévale appartint à la famille de Gontaut-Biron.
En partie restaurée, elle est désormais transformée en gîte.
Mercuès
Autrefois propriété des comtes-évêques de Cahors, c'est aujourd'hui un hôtel. Il fut cité dès 1212. Il fut agrandi aux 14ème et 15ème siècles et assiégé à plusieurs reprises au cours de la Guerre de Cent Ans et des guerres de Religion. Au 16ème siècle, il devint une demeure de plaisance. Il fut restauré au 19ème siècle.
Cieurac
Château renaissance édifié à la fin du 15ème siècle sur les bases d'une forteresse médiévale du 13ème. Sous Richelieu, son deuxième étage fut rasé. Il fut incendié en 1944 par la division Das Reich. Il est maintenant complètement restauré et habité par ses propriétaires.
Façade arrière.
Nous allons maintenant remonter le Lot à la découverte de nouveaux sites.
Cabrerets
C'est sur cette commune que se situe la grotte du Pech- Merle.
Château des Gontaut-Biron datant des 14ème et 15ème siècles, à l'entrée sud de la cité. Il domine la vallée.
À l'entrée nord, le château du Diable ou château des Anglais s'accroche à la falaise de Rochecourbe au-dessus du Célé. Il servit de repaire aux pillards lors de la Guerre de Cent Ans.
Cuzals
Ce site, racheté par le Conseil Général du Lot, abrite le Musée de plein air du Quercy.Le château fut entièrement détruit par un incendie au milieu du 20ème siècle.
Une tour d'angle.
Cénevières
Ce château qui domine le Lot, fut remanié à la renaissance. Au 8ème siècle se dressait un fortin à cet emplacement et au 13ème siècle, les vicomtes de Gourdon firent élever un donjon.
Saint-Cirq-Lapopie
L'auberge des mariniers qui fut habitée par André Breton.
Du château, établi au plus haut de la falaise, par les Lapopie, seigneurs des lieux au Moyen-Âge, il ne reste que quelques ruines.
Larroque-Toirac
Bâti à flanc de falaise, ce château construit au 12ème siècle, domine le village et la vallée du Lot.
Il appartient à la famille Cardaillac qui s'illustra, au cours de la Guerre de Cent Ans, dans la résistance quercynoise à la domination des Anglais.
Montbrun
La lanterne des morts
Revenons dans le Lot.
Saint-Cirq-Lapopie : village classé, perché sur un promontoire.
Église fortifiée
(début 16ème)
Saint-Martin-de-Vers : petit village en pleine rénovation
Son clocher-tour barlong* et crénelé témoigne du sentiment d'insécurité qui régnait autrefois.
*barlong : terme d'architecture
se dit lorsque le côté le plus long se présente de face et généralement perpendiculairement à l'axe du bâtiment. (Larousse)
VersA l'entrée de Vers, en venant de Cahors, la chapelle Notre-Dame-de-Velles, 12ème siècle, est un lieu de pèlerinage. Son nom Velles ou Vêles qui signifie voiles, indique qu'elle était fréquentée par les mariniers du Lot qui coule tout près.
Voilà, la promenade à la découverte du patrimoine religieux du Lot s'arrête ici.
Le ciel s'est chargé de nuages,
Dans le lointain tonne l'orage.
Voilà que les éléments se déchaînent
Telles nos pensées face à la bêtise humaine.
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.