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L'année 2012 est très importante pour la démocratie dans notre pays. Vous êtes appelé(s) dans un premier temps à élire le futur président de la République puis les députés qui formeront l'assemblée nationale pour 5 ans. Pour avoir la qualité d'électeur, il faut être de nationalité française, être âgé de 18 ans révolus et jouir de ses droits civils et politiques. De plus, le droit de vote est subordonné à l'inscription sur une liste électorale.
Chaque voix compte. Ce droit a été acquis au terme de luttes. Beaucoup de personnes dans le monde en sont privées. Aussi, dès le 1er tour, le 22 avril, exprimez-vous à l'aide de votre bulletin de vote. L'abstention n'est pas une solution.
N'oubliez pas, il en est encore temps, de donner des procurations si vous êtes dans l'impossibilité de venir voter à l'un des scrutins ou à plusieurs.
Comment s'y prendre ?
La démarche s'effectue au commissariat, à la gendarmerie, au tribunal d'instance ou auprès des autorités consulaires.
La personne qui donne procuration (le mandant) désigne librement la personne qui votera à sa place (le mandataire).
Le mandataire doit toutefois répondre à 2 conditions : être inscrit dans la même commune que son mandant et ne pas avoir reçu d'autre procuration en France.
Inscription dans la même commune
Le mandataire doit être inscrit sur les listes électorales de la même commune que le mandant, mais pas forcément être électeur du même bureau de vote, ni du même arrondissement.
Nombre limité de procuration
Le jour du scrutin, le mandataire qui vote en France peut détenir une seule procuration établie en France.
Le 6 mai, vous serez amené(s) à choisir l'un des deux candidats arrivés en tête au 1er tour. Puis, les 10 et 17 juin, auront lieu les élections législatives.
Voici un aperçu de l'avancement des travaux de restructuration du groupe scolaire.
Vue du parking
Préparation du plancher avec la pose des hourdis
L’espace Beau-Soulage de Saint-Christophe accueillait dimanche après-midi plus de 400 danseurs pour la manifestation organisée par « Le Club de l’Amitié » de Saint-Paterne.
L’orchestre du jour « Les Compagnons du musette », très apprécié des habitués des thés dansants, avec ses airs entraînants, faisait que peu de personnes restaient à leur place. La piste de danse était très occupée en permanence et les danseurs et danseuses émérites ne la quittaient que pour aller se désaltérer.
Le Club de l’Amitié, présidé par Madame Giraud, organise régulièrement des thés dansants sur Saint-Christophe car « les danseurs aiment bien venir dans la salle Beau-Soulage ». Il faut souligner que c’est la plus grande salle du secteur et qu’elle peut recevoir plus de 500 personnes. « Nous dépassons les 400 entrées, c’est bien pour nous » ajoute-t-elle satisfaite de cette réussite, « c’est notre bal le plus important de l’année. »
La section marche de l’Union cyclotouriste de Saint-Paterne – Saint-Christophe proposait quatre circuits de marches différents étalés sur la journée de dimanche.
Dès le matin, 44 marcheurs se sont inscrits pour participer selon leur capacité à l’un des 3 circuits figurant au programme avec au choix : 11, 17 ou 22 km.
Après la pause méridienne, certains ont décidé de participer également à la marche des familles d’une longueur de 8,500 km conduite par Michel André.
Avec les nouveaux venus, ce sont donc près de 40 randonneurs qui ont de nouveau pris le départ depuis l’ancienne mairie de Saint-Paterne. La plus fidèle des randonneuses, âgée de 84 ans, ne peut se passer de sa marche du dimanche ; 40 km dans la journée ne lui ont jamais fait peur !


À l’arrivée, un pot amical leur était promis de quoi stimuler les marcheurs qui sont partis d'un bon pied.
Dimanche matin, près de 70 personnes réparties entre enfants scolarisés de la maternelle au lycée, parents et amis de l’école, se sont retrouvées sur le parking de l’espace Beau-Soulage, lieu de départ de la seconde randonnée pédestre organisée par l’école publique communale.

La marche a débuté à 9 h 30 précises, sous la conduite de Valérie Bertola, directrice de l’école, pour un parcours de 11 km qui a permis de traverser des vergers en fleurs, des champs de colza d’un jaune lumineux et de voir s’échapper devant les marcheurs quelques lièvres ou s’envoler des perdrix.
Les randonneurs ont foulé les chemins de Saint-Christophe mais aussi, en partie, ceux de Saint-Pierre-de-Chevillé, commune sarthoise limitrophe de Saint-Christophe.
À mi-parcours, un ravitaillement composé d’eau, fruits frais et secs, biscuits, gâteaux et chocolat a redonné du tonus à la troupe qui est repartie d’un bon pied pour accomplir la deuxième partie du trajet.
Tous, quelque soit leur âge, se sont dits très satisfaits de cette randonnée. Une petite fille a même ajouté : « Moi, je recommencerai l’année prochaine. »
Samedi, en fin d’après-midi, la place Jehan d’Alluye était le théâtre d’un rassemblement de vieilles voitures assez surprenant. En effet, cette année, la 5ème édition du Critérium-Touraine-Classic avait installé un point de contrôle sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais.
Ce Critérium avait été créé en 1968 grâce à Bernard Mexia, Philippe Farjon et Robert Labbé qui étaient regroupés au sein de l’ORTF et qui deviendra l’écurie TOURS AUTO. Cette manifestation qui vit participer quelques-uns des plus grands pilotes de l’époque cessa en 1987. Les années passant, des Tourangeaux demandèrent à Henri-Émile JACONELLI de recréer ce critérium et, en 2008, eut donc lieu la 1ère édition de ce critérium nouveau qui est plutôt un rallye de régularité qui porte le nom de « Critérium-Touraine-Classic ».
Cette épreuve se déroule sur deux jours avec un parcours de nuit et est réservée aux voitures de collection construites entre 1950 et 1991 et aux voitures modernes d’exception à jour de toutes les vérifications administratives.
Pour l’édition 2012, une soixantaine de pilotes ont souscrit un engagement. La voiture la plus ancienne, une Jaguar XK150 datait de 1958 et la plus récente, une Porsche 996 datait de 1996.
On pouvait admirer lors du contrôle des Austin Mini Cooper, BMW 320/6, Alpine Renault, Gordini, Ford Mustang, Simca CG 30, Alfa Roméo, etc…
Cette année, la plaque tournante du rallye se situait à Vouvray-sur-Loire. Les concurrents doivent se déplacer sur un circuit routier en respectant bien sûr le code de la route et un temps limité pour chaque épreuve sinon, gare aux pénalités, que le temps soit trop court ou trop long entre deux contrôles.
Les épreuves de nuit se dérouleront autour de Vouvray et dimanche, passage à Tours, boulevard Béranger, la fin du rallye étant prévue à Vernou-sur-Brenne.
Pour pallier les éventuelles pannes de ces superbes bolides, un camion de dépannage se déplace sur le même circuit.
En conclusion, un magnifique spectacle offert aux Christophoriens et qui a animé le centre du village pendant plus d’une heure.
Samedi matin, Nathalie Chaussis, écrivaine et résidante de Saint-Paterne-Racan depuis peu, dédicaçait son premier roman « La voix du temps ». Ce récit se passe en Écosse, entre le 21ème et le 18ème siècles.
Nathalie Chaussis, infirmière de formation est venue à l’écriture suite à un accident de voiture qui l’obligea à un arrêt de travail très long. « C’est l’ennui qui a été le déclencheur de cette activité. J’avais besoin de faire quelque chose. J’ai essayé la peinture, mais ça n’a pas marché. Et puis, petit à petit, un film s’est déroulé dans ma tête. Il ne me restait plus qu’à le transcrire sur le papier. Pour arriver au terme de ce premier tome d’une tétralogie, j’ai passé beaucoup de temps en recherches de façon à être la plus précise possible. »
Wilna Zamarlik, présidente de la bibliothèque, confie : « Avec les bénévoles de la bibliothèque municipale, nous avons lu ce livre. Sa lecture nous a agréablement surpris aussi, nous avons décidé d’aider Nathalie en lui proposant de dédicacer son livre ici. »
Maintenant qu’elle a repris son activité professionnelle, Nathalie Chaussis fait remarquer : « Maintenant, je n’ai plus beaucoup de temps à consacrer à l’écriture. Le weekend est réservé à la maison et aux enfants mais, le dimanche après-midi quoiqu’il arrive, j’écris. »
À la question posée par Danielle, une des lectrices de la bibliothèque, quant à la recherche d’un éditeur, l’auteure a répondu : « Pour mon manuscrit, je n’ai pas trouvé tout de suite une maison d’édition qui soit intéressée. Tout tient dans le comité de lecture. Finalement, il a été édité par « Le Manuscrit » qui propose une édition papier et également la possibilité de l’avoir sur tablette. »
Henri Zamarlik, maire de la commune, a tenu à féliciter Nathalie Chaussis en ces termes : « L’âme de Racan se retrouve dans son livre. Marie Stuart, qui fut reine d’Écosse et de France, au 16ème siècle, peut faire le lien entre Racan, Jean V de Bueil, surnommé le « Fléau des Anglais » et la France qui fut l’alliée de l’Écosse. » Et pour illustrer son propos, il remit un buste de Racan à l’écrivaine avant de remercier toute l’équipe des bénévoles qui œuvre au sein de la bibliothèque.
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