Venez nombreux pour soutenir l'association, continuer à mener des actions contre le système actuel de financement des ordures ménagères et connaître les projets en cours et/ou à venir du collectif.
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Venez nombreux pour soutenir l'association, continuer à mener des actions contre le système actuel de financement des ordures ménagères et connaître les projets en cours et/ou à venir du collectif.
Semaine du patrimoine
BUEIL-EN-TOURAINE
Du 10 au 18 Sept.2022
Les concerts
Samedi 10 septembre : MUNDOVOX, chants voyageurs
20h30 — Collégiale
Entrée : 13€ — Adhérents : 11€ — Tarif réduit : 7€
Chants populaires et sacrés, prières et chants de travail, lamentations, berceuses et éclats de rire venus de Tziganie, du pourtour de la Méditerranée ou des Balkans, avec détour par l'Amérique du Sud et l’Afrique.
Direction : Didier Buisson, accordéoniste
Vendredi 16 septembre : « Il nous faut de l’amour »
20h30 — Collégiale de Bueil-en-Touraine
Entrée : 15€ Adhérents : 13€ Tarif réduit : 8€
IL NOUS FAUT DE L'AMOUR est un spectacle lyrique, un opéra comique plein de gaieté mis en scène par Claire MAUPETIT.
Ce spectacle décalé vous révélera les diverses facettes de la relation amoureuse au gré des airs touchants ou drôles de Schubert, Fauré, Offenbach, Léhar Production « Sons du Monde »
Les expositions
— Salon de peinture, dessin et sculpture :
Du 10 au 18 septembre dans l’église St Pierre.
Entrée libre : 15h-18h (lundi à vendredi) & 10h-19h (week-end).
Vernissage le dimanche 11 septembre à 11h30
Visites guidées de la Collégiale
Samedi 17 septembre : 15h00
Dimanche 18 septembre : 11h00, 14h30 et 16h00
Durée de la visite : 1h30 environ — Participation libre
Renseignements, réservations : 06 73 07 99 98 02 47 24 45 38 06 31 84 43 47
www.bueil-en-touraine-collegiale.jimdo.com
La collégiale de Bueil-en-Touraine accueille pour l'été, jusqu'aux Journées du Patrimoine, une installation de l'artiste portugaise Maria José Oliveira intitulée « L'invention de l'autre ». Mise en place dans l'ancienne sacristie, cette œuvre évoque le roman épistolaire du XVIIe « Les lettres portugaises », une adaptation de ce livre ayant fait en 2012 l'objet d'un film réalisé en partie à la collégiale. Maria José Oliveira a également réalisé une œuvre pour le monastère de Beja, au Portugal, où se déroule l'action du roman et où le film a également été en partie réalisé. Les deux œuvres, installées dans des édifices religieux distants de 1500 km, se font écho à travers les frontières, l'espace et le temps.
Catherine Puissant, Jean-Michel Albert, Maria de Oliveira et Didier Descloux
Conjointement porté par l'association tourangelle ALFA et l'association « Autour de la collégiale », ce projet a été présenté le 12 juillet au Centre de Création Contemporaine Olivier Debré de Tours qui accueille actuellement la grande exposition « Tout ce que je veux » regroupant les œuvres de quarante artistes portugaises dont plusieurs de Maria José Oliveira.
A Bueil, le vernissage de l'exposition a eu lieu le mercredi 13 juillet, en présence de l'artiste. Celle-ci a présenté son travail au public après les prises de parole de Didier Descloux, président de l'association « Autour de la collégiale », de Catherine Puissant, présidente d'ALFA, de Fernando Ribeiro et Jean-Michel Albert, commissaires de l'exposition.
Sur le plan pratique, « L'invention de l'autre » est visible chaque jour, aux heures d'ouverture de la collégiale, de 10h à 18h. Entrée libre et gratuite. Notice de présentation en français et en portugais.
Pour info, lors du tournage du film dans la collégiale, j'avais fait un reportage sur mon blog (30 mars 2012)
Quel plaisir pour l’association christophorienne de pouvoir enfin renouer avec ses activités habituelles. Samedi soir, c’est donc une soixantaine de personnes qui s’est retrouvée sur le parking de la salle socioculturelle « Le Foyer » pour découvrir ou redécouvrir quelques trésors cachés de la commune.
Avant le départ
Avant le départ, Philippe Larus, le président, rappela en quelques mots les différents thèmes retenus lors des 16 précédentes promenades crépusculaires et mentionna que les éditions « Sur les lieux du crime » débouchèrent sur la réalisation du second livre d’Histoire et Patrimoine, livre qui reçut en 2017, le premier prix de la catégorie culture, remis par le Crédit Agricole Touraine Poitou.
La montée des Ruettes
Après les quelques recommandations d’usage question sécurité lors des déplacements dans le bourg, la petite troupe se mit en route. Pour éviter les axes à circulation plus importante, c’est par les Ruettes, ancien chemin de ronde, que les participants regagnèrent la première halte prévue, bien ombragée, ce qui était très agréable par cette chaleur encore assez forte, en bordure d’un verger, face au cimetière et à sa motte féodale.
Première halte à l'ombre
C’est là que Fabrice donna lecture d’un texte écrit en 1891 par le curé Minguet, texte qui décrit le village de Saint-Christophe sous des aspects très élogieux quant à ses nombreux châteaux, sa vallée verdoyante, ses coteaux couverts de vigne, ses maisons en pierres calcaires et ses nombreuses cavités qui lui donnent tant de charme.
Dans la cave communale
Ensuite, direction la rue du Vieux Château, qui ne fut tracée qu’en 1860, où se situent des caves communales servant actuellement à entreposer du matériel pour les agents techniques. Là, ce fut au tour de Lionel de fournir quelques explications sur ce site mais aussi un peu de géologie.
« Le village de Saint-Christophe, comme vous pouvez le constater, est construit sur du calcaire turonien, assez facile à creuser. Sur la commune, il y a de très nombreuses cavités, anciennes habitations troglodytiques ou simples caves ayant servi au temps où les coteaux étaient couverts de vignes. Sur le territoire communal, on compte près de 1000 cavités, quasiment autant que d’habitants ! Et, c’est ce matériau qui fait que nous sommes ici pour vous dévoiler une curiosité : l’existence d’une ponne ! Nous nous trouvons à proximité du donjon féodal. Dans le secteur, il reste 2 autres ponnes. Ce sont des silos, comme des grandes jarres creusées dans la pierre, où l’on engrangeait les céréales en les versant à l’intérieur par une ouverture située sur le dessus et que l’on refermait avec un couvercle. Elles étaient très utilisées au Moyen Âge. Il faut savoir que Saint-Christophe avait combattu contre les Anglais ! Lors de travaux, celle d’ici a été coupée dans sa longueur mais son orifice est encore bien visible. Pour rappeler la vocation viticole de ces caves relativement récentes, un pressoir se trouve dans l’une des cavités. »
Après que l’ensemble des visiteurs eut pu découvrir les curiosités présentes sur ce site, le groupe fut partagé en deux pour aller découvrir des jardins particuliers, invisibles de la rue.
Le jardin «Le soin fertile » de Matthias Mégret.
Matthias est concepteur de jardins thérapeutiques. Son jardin est composé de plusieurs modules ayant chacun des végétations différentes mais aussi des aires de repos et des passages faisant dresser l’oreille. En déambulant parmi ces modules, les différents sens que sont le toucher, la vue, l’odorat, l’ouïe et le goût sont en éveil. Il y règne une atmosphère reposante ! Son jardin sert à la formation de personnes travaillant avec des enfants ou des adultes handicapés qui ont besoin de ce contact quasi permanent avec la nature pour se sentir bien. Il a déjà installé plusieurs jardins de ce type à proximité d’IME ou d’EHPAD. Un projet serait en cours sur la commune…
Le jardin de Matthias
Après le jardin de Matthias, c’est celui de Philippe et Dominique qui nous accueille.
Dans le jardin de Philippe
Autre jardin, autre style avec une longue histoire liée à la maison et aux abords du site. Tout d’abord, le nom de la rue « Chaude » appelée autrefois « rue de la place à l’église » ! L’appellation « Rue Chaude » a donné lieu à diverses suppositions : cabarets, maisons closes, … Mais , d’après Gendron, spécialiste des noms de lieux-dits, ce pourrait être lié à la situation géographique : "Une rue bien exposée, protégée du froid par des murs…" Ce qui est assez intéressant sur ce site, ce sont les différents propriétaires qui y ont vécu.
Elle a abrité plusieurs maires dont Léon Brossard, souvent mis en scènes dans des saynètes interprétées lors de précédentes promenades crépusculaires et plusieurs médecins dont le docteur Cuvier. Et, dans le jardin, parmi les visiteurs, se trouvaient 3 enfants du docteur Cuvier, dont 2 étaient nés dans cette maison : Philippe en 1932, Françoise en 1933. Leur sœur, Anne-Marie, est née dans la maison des médecins sur la place où leur père s’est installé par la suite. Ils n’étaient jamais revenus dans ce lieu depuis leur enfance ! La maison et le jardin sont entourés par les murs des ateliers de l’entreprise « Extase » qui confectionnait des sous-vêtements féminins. Après une délocalisation à Saint-Paterne, elle a cessé son activité.
À l'Auberdière
Pour terminer la soirée, c’est à l’Auberdière que tout le monde s’est retrouvé.
Claudie, propriétaire des lieux donna de nombreux renseignements sur la maison dont les parties les plus anciennes remonteraient au XIVe siècle. Elle emmena les curieux à l’intérieur des nombreuses cavités dont certaines avaient servi de carrières de pierre et plus récemment pour abriter des tonneaux où vieillissait le vin venant des vignes situées sur le coteau au-dessus.
Claudie donne des explications sur sa propriété
Ce que l’on voit de l’Auberdière faisait partie d’un fief très important comprenant plusieurs hectares de terre comme en témoigne l’original pigeonnier visible dans la falaise au-dessus de cavités habitées autrefois. L’une d’entre elle a abrité un moine !
Et, dans ce cadre très agréable, pour terminer l’animation, quatre membres du CA de l’association avaient préparé une saynète à partir d’un texte écrit par Raphaël Blanchard, éminent médecin natif de la commune à la fin du XIXe siècle et très attaché aux traditions ancestrales et populaires. Ce texte raconte comment autrefois, dans les villages, les personnes par des prières et autres simagrées, soignaient même par procuration, certains maux en utilisant les pouvoirs que l’on attribuait à certains saints …
Les acteurs pendant leur prestation
La recette utilisée dans cette affaire « La bougie de la mère Bignon » ne s’est pas avérée très efficace !
Le verre de l'amitié
Pour clore cette très sympathique soirée, chacun fut invité à partager le verre de l’amitié et pour une vingtaine d’entre eux c’est un pique-nique tiré du sac qui acheva ce moment de retrouvailles !
La Chariotte
L’épicerie de La Chariotte est fière de fêter son 2ème anniversaire avec sa pergola récemment aménagée sur sa terrasse. Rendez-vous le 23 juillet à partir de 18 h,
au 5 rue André Piégu.
Au programme, de nombreuses animations dont 3 concerts gratuits:
- Les Pirates, groupe dont le chanteur est Guillaume l'épicier. Reprises personnalisées de chansons françaises
- La fanfare de Montoire-sur –le- Loir en déambulation
- Patrick Chamblas, artiste Tourangeau, guitariste et chanteur.
- DJ set, un DJ très local qui fera danser tous les amateurs le reste de la soirée.
Pour bien profiter de ce temps convivial, il sera possible de se restaurer sur place. Le bar de l’épicerie sera ouvert avec des boissons locales et des bières artisanales.
Cette fête est ouverte à tous et son entrée est libre.
Contact : 02-47-52-06-90 « vivemonepicerie@gmail.com »
Dimanche, en fin d’après-midi, de nombreux visiteurs se pressaient à l’entrée de la collégiale pour venir écouter l’ensemble « Vadios de Fado » qui s’était déjà produit en 2017 et qui avait enchanté tous les spectateurs. Ce groupe, composé de quatre personnes, Karine, la chanteuse, Yannick à la guitare folk, Etienne à la contrebasse et Helder qui remplace Pierre qui vient malheureusement de disparaître, à la guitare. « Le concert de ce soir, lui sera dédié » précisa Karine en début de spectacle.
Didier Descloux, président de l’association « Autour de la collégiale » souhaita la bienvenue aux 85 personnes présentes pour assister à ce premier spectacle de la programmation 2022 qui s’annonce très riche. Il présenta le déroulement de la soirée : « La première partie va se dérouler ici, dans l’église Saint-Pierre. Une coupure de 20 minutes permettra à tout le monde de profiter d’une petite pause avant la seconde partie qui se déroulera en 2 temps. La reprise pour quelques chants se fera de nouveau ici puis, pour terminer, chacun sera invité à sortir et à se rendre de l’autre côté de la rue, sous un préau où une petite collation vous sera servie et où le groupe poursuivra sa prestation avec des chants d’un autre registre. »
Ensuite, C’est Philippe Larus qui présenta un projet de l’association qui se déroulera au cours de l’été avec un lien en direct avec le Portugal où une animation semblable aura lieu. Nous aurons l’occasion d’en reparler.
Après ces discours, Karine, la chanteuse, arriva sur scène avec ces mots : « Le groupe « Vadios de faro » est très heureux d’être dans ce lieu pour la seconde fois. Je vais vous expliquer rapidement ce qu’est le fado. C’est un chant urbain et populaire au Portugal au début du 19e siècle. C’est un chant qui sort du plus profond de l’âme, porté par la musicalité des guitares, de la poésie et de la langue portugaise. Ce sont pour beaucoup des chansons d’amour nées dans des quartiers populaires, souvent mal famés où régnait la prostitution. Aujourd’hui, le fado est chanté dans des tavernes mais aussi dans les rues, comme à Lisbonne. »
Les musiciens prirent place sur la scène et, au son de la voix profonde de Karine, chants et accords musicaux se succédèrent faisant vibrer la salle et les auditeurs que la chanteuse sollicitait souvent pour qu’ils accompagnent le rythme en tapant dans leurs mains. Pendant plus d’une heure et demie chants et musiques s’enchaînèrent.
La chanteuse et ses musiciens
Ce fut alors le moment de changer de lieu pour rejoindre le préau où tables et chaises avaient été installées afin que chacun puisse poursuivre confortablement cette sympathique soirée. Après quelques grignotages accompagnés de boissons sur le thème de la soirée, Karine et ses musiciens régalèrent l’assistance avec, outre quelques romances, un registre de chants ayant accompagné la « Révolution des Œillets » qui embrasa le Portugal le 25 avril 1974. Le public fut invité à chanter avec les artistes le fameux chant « Grândola, vila morena » créé par José Alfonso en 1971.
Le public bien installé sous le préau
La prestation se poursuit sous le préau, en extérieur
L’heure avançant, vint le moment de se séparer après quelques heures de convivialité bien agréables après ces deux années passées. Le président de l’association remit un bouquet de fleurs à la chanteuse avant de donner le clap final et remercia la propriétaire des lieux ! Elles furent toutes les deux très applaudies par le public. Mais, réjouissez-vous, d’autres bons moments sont prévus « Autour de la collégiale de Bueil » !
Remise du bouquet de fleurs
Site : https://bueil-en-touraine-collegiale.jimdofree.com
02 47 24 49 60 ou 06 73 07 99 98 ou 06 31 84 43 47 ou pour réserver une visite 02 47 24 46 38
Après deux années marquées par la pandémie liée à la Covid 19, en cette année 2022, l’association « Histoire et Patrimoine » a repris l’ensemble de ses manifestations. Après son assemblée générale fin janvier, la sortie de son troisième livre en mars, la découverte de Coëmont en mai, l’association vous invite à sa 17ème randonnée crépusculaire.
Ce sera l’occasion de déambuler dans les rues du village afin de découvrir une partie du patrimoine discret, qu’il soit privé ou communal.
Curiosités, jardins ouverts, belles demeures sont au programme. Sur chaque site, l’association vous proposera courte lecture ou saynète interprétée par les membres de l’association.
Si les conditions sanitaires le permettent, possibilité de dîner ensemble, au foyer ou en extérieur (repas tiré du sac), après le verre de l’amitié qui vous sera offert.
Rendez-vous devant l’espace socioculturel Le Foyer, le vendredi 8 juillet, à 18 h.
Contact : mail : hp.scsln@gmail.com ou tél : 02 47 29 33 18
L’association castélorienne de randonnée pédestre, Pédibus, avait convié ses adhérents à une randonnée en dehors des chemins habituels pour marquer la clôture de cette saison redevenue enfin normale après les deux années de pandémie.
C’est donc à Couture-sur-Loir, aujourd’hui Vallée de Ronsard, devant le manoir de la Possonnière, qu’une quinzaine de marcheurs s’est retrouvée pour une randonnée de 7,500 km, sans difficulté particulière, choisie par la présidente, Michelle Cerneau, pour que tous puissent y participer.
Après une montée pour atteindre le haut du coteau, de belles vues s’offrirent aux regards : le château de La Flotte, un paysage verdoyant, des vergers aux arbres fruitiers déjà chargés de fruits magnifiques (pêches, pommes, noix), mais aussi au feuillage curieux. Renseignement pris auprès du propriétaire des lieux, c’étaient des plaqueminiers, arbres à kakis, peu courants dans nos régions !
Lors de la randonnée
Sur le chemin du retour, devant une propriété assez importante, La Denisière, un panonceau attira l’attention des marcheurs, toujours prêts à s’instruire, même en randonnée. Ce manoir datant de la fin du Moyen Âge fut lié à la famille de Ronsard. Et, au XVème siècle, un assassinat y fut perpétré !
La matinée s’achevant, les participants reprirent leurs véhicules en direction de l’Île verte, sise au bord du Loir, pour un très sympathique pique-nique dans un magnifique cadre de verdure. L’apéritif, un petit vin local, fut offert par l’association, avant que chacun ne sorte ses victuailles pour se sustenter. Puis, une ronde des desserts succéda aux préparations culinaires, et chacun put apprécier les talents de certains marcheurs : tarte aux abricots, meringues, cake tout chocolat, cannelés, …
Sur l'Île verte
Début des agapes : l'apéro...
Le pique-nique...
... et, la tarte de Georges !
Heureusement, il n’y avait pas de marche au programme de l’après-midi mais une visite guidée du manoir de la Possonnière, demeure du poète Pierre de Ronsard, où il naquit en 1524, propriété de la communauté d’agglomération du Vendômois.
Le manoir de La Possonnière
C’est une charmante demeure du XVe siècle construite en pierre de tuffeau typique de la région du val de Loire. Les marcheurs, sous la conduite d’une guide remarquable, furent séduits par l’élégance de l’architecture et le calme des jardins. Quelques frais ombrages et les parties troglodyiques permirent de mieux supporter la chaleur de nouveau présente en ce début d’après-midi. Restauré et remanié au XIXe siècle, le manoir de la Possonnière a tout de même conservé tout le charme de la Renaissance.
Visite guidée
En 2020, les jardins furent réaménagés. Ils sont librement inspirés du style et du vocabulaire de la Renaissance. On y retrouve une roseraie, un labyrinthe, un bosco, une chambre de verdure, une pergola, un potager…
Les jardins...
Et, bien évidemment, sur l’un des murs, un rosier « Ronsard » étalait ses tiges et ses roses y mettaient quelques touches discrètes de couleur !
Après cette journée à la fois "sportive" et culturelle, dans la tradition des activités de Pédibus, chacun des participants reprit le chemin du retour en se donnant rendez-vous pour le dernier jeudi du mois qui clôturera réellement la saison 2021-2022 !
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.