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Longtemps spécialisée dans l’organisation de centres de vacances, l’association GRBueil s’est peu à peu tournée vers tout public. L’organisation de treks printaniers pour les adultes et de séjours d’été pour enfants et adolescents constitue l’activité principale de l’association.
Les treks pour les adultes recueillent un vif succès. L’association, pour répondre à cette demande croissante, avait programmé deux destinations distinctes au Maroc puis dans les Cyclades.
Puis avec l’été, arrive l’heure des séjours pour les plus jeunes. La grande nouveauté de l’année aura été l’inauguration d’une base fixe inexplorée sur le plateau de la Planèze au pied des Monts du Cantal.
Les adolescents sont descendus un peu plus au sud dans les Pyrénées.
L’association tiendra son assemblée générale le samedi 4 novembre à 15 h à la salle Piégu de Bueil en Touraine pour dresser un bilan détaillé de son activité et présenter les projets pour 2018 qui ne manqueront pas eux-aussi de nouveauté.
Inscriptions pour les treks adultes jusqu’en décembre (dans la limite des places disponibles).
Inscriptions pour les séjours d’été à partir du 15 mars.
Contact : grbueil@laposte.net ou 02-47-24-49-60 mais encore grbueil.e-monsite.com
Châtaignes et bernache furent bien appréciées.
Vendredi soir, l’association « Autour de la collégiale » avait convié tous ses amis à la dernière manifestation de la saison, l’incontournable soirée contes dans le cadre du cavier de Gué Luneau. Tous les ingrédients étaient réunis pour que cette soirée soit une réussite : une belle météo, une bonne récolte de châtaignes grillées à point et bien moelleuses, une bernache gouleyante pour faire patienter le nombreux public et …Fabienne Avisseau, la conteuse par excellence.
Une fois les personnes présentes rassasiées par les bons produits offerts par l’association, Didier Descloux, le président, invita chacun à s’installer dans la cave et en quelques mots remercia toutes les personnes venues assister à la soirée, Gérard Tondereau pour la mise à disposition de la cave, et après avoir souhaité une bonne soirée à tous, il laissa la place à Fabienne Avisseau.
Qui est donc Fabienne Avisseau ?
Après une carrière d'assistante sociale puis de professeur des écoles (métiers où la parole est outil de base), Fabienne Avisseau a développé son activité de conteuse.
Ainsi, elle se produit dans des lieux très variés : scènes rurales, bibliothèques, librairies, résidences seniors, écoles, collèges, spectacles privés... Elle y raconte, parfois accompagnée de son orgue de Barbarie, des récits mythologiques, des contes merveilleux, facétieux, de sagesse, et des contes pour enfants.
Pas de chichis, un décor dépouillé se limitant à un rideau rouge pour fond de scène, une petite table avec un bel orgue de Barbarie et, au pied de la table, une photo de mariage du début du siècle dernier prise en Beauce.
De décor, elle n’en a pas besoin. D’entrée de scène, avec son orgue de Barbarie, elle crée l’ambiance de la soirée qu’elle va faire vivre aux spectateurs, en l’occurrence une veillée de fin de « batterie » comme on disait alors, il y a un bon siècle de cela une fois le travail des moissons accompli. Tous les participants du patron à l’ouvrier venu de Bretagne pour ces travaux champêtres bien propres et revêtus de leurs plus beaux habits participaient à la fête : un bon repas et des histoires, beaucoup d’histoires racontées par les uns ou les autres. Il y avait des spécialistes pour cela.
Les gestes et les expressions du visage ajoutés à la voix suffisent pour créer le décor.
Mais, me direz-vous, comment sans décor peut-on mettre le public dans l’ambiance de l’histoire contée ?
Avec Fabienne Avisseau, pas besoin de décor. Il suffit de la regarder et de l’écouter. Sa voix, ses yeux, ses gestes, suffisent à créer le décor. Sa main qui s’élève… et on peut, comme elle, suivre le vol des oiseaux. Son sourire qui se fige, ses yeux qui s’embuent, quelques secondes de tristesse gagnent l’ensemble du public notamment au récit de Philémon et Baucis ou celui de Jean de Calais…
Tout au long de l’heure et demie passée en sa compagnie à écouter les nombreux contes qui s’enchaînèrent sans temps mort, les 75 personnes présentes dans la cave sont restées suspendues aux lèvres de la conteuse. Que ce soit l’histoire de la petite Mariette et du Teuz, du Roi et de son conseiller dont la formule de sagesse était invariablement : « Tout mal peut cacher un bien !», de Jean de Calais ou pour finir, d’un petit récit extrait de la mythologie, la conteuse a su tenir son public en haleine et le faire vibrer à son rythme.
Ce qu’il faut savoir, c’est que la conteuse, ces histoires c’est sa grand-mère, Marie Gaillard, qui les lui a racontées et, de génération en génération, elles continuent de vivre car c’est un patrimoine qu’il faut conserver.
Alors, en conclusion, laissons le mot de la fin à Fabienne Avisseau : « Un jour, Marie Gaillard est partie mais ses histoires sont restées ! » Souhaitons qu’elles fassent encore longtemps le bonheur de ceux qui aiment les écouter.
Merci à l’association « Autour de la collégiale » pour la qualité des spectacles qu’elle propose chaque année à des prix tout à fait corrects.
Le vendredi 27 octobre, réservez dès maintenant votre soirée ! Venez voir en duel en concert Medouze vs Neïmad au bar PMU à Saint-Paterne Racan (37). Ils s'affrontent pour la session #1 du Tremplin des Kampagn'arts, vous pourrez les revoir en vidéo et voter en ligne tout le week-end après le concert sur http://tremplin.kampagnarts.fr .
Le gagnant du vote jouera le 14 avril en finale à Neuvy-le-Roi (37).
Medouze sort son album CHANGER LA DONNE produit pas le précurseur de la musique Hip-hop en France , DJ DEE NASTY , accepta de produire musicalement l'album de MEDOUZE.
Un album au titre évocateur, celui d'un retour à la base de la musique Hip-hop des années 80..
Neïmad vous racontera des histoires et des petits bouts de lui en chanson accompagné de sa guitare.
Il vous invite à le découvrir à travers elles en toute simplicité...
Un public intéressé par les avancées de la recherche médicale
Comme chaque année depuis 2005, un an après la création de l’association Malaury, une soirée était organisée dans la salle Beau-Soulage, au profit de la recherche médicale.
Rappelons rapidement que cette association s’était créée pour aider les chercheurs qui travaillaient sur le syndrome de Lesch Nyhan et la dystonie, symptômes dont souffrait le petit Malaury. Des liens se sont alors noués entre Odile et Jean-Michel Gourdon, parents de Malaury, et Pierre Castelnau, neuropédiâtre à Clocheville à Tours et Irène Céballos-Picot, enseignant-chercheur à l’hôpital Necker à Paris.
Depuis plusieurs années, cette soirée commence donc par une conférence où la personne invitée et ce fut souvent, comme samedi soir, Irène Ceballos-Picot, vient expliquer le plus simplement possible les travaux réalisés et les avancées obtenues d’une année sur l’autre.
La conférence proposée cette année s’intitulait : « Recherche d’une thérapie de la maladie de Lesch-Nyhan ».
Avant de laisser la parole à la chercheuse, Odile, présidente de l’association, prit le micro et devant la quarantaine de personnes présentes pour suivre l’évolution des recherches, ouvrit la soirée par ces quelques mots : « Merci d’être là pour la 13ème édition de cette soirée amicale et conviviale. Je remercie la municipalité de Saint-Christophe pour le prêt de la salle. Pour la énième fois, Irène Ceballos-Picot exposera l’avancée de ses recherches. Le don que nous avions fait l’an dernier à Pierre Castelnau a été investi dans le fonctionnement du robot humanoïde Nao qu’il nous avait présenté et qui intervient maintenant auprès des enfants. »
Elle laissa ensuite la parole à Irène Ceballos-Picot. « Ce soir, je vais vous parler d’un projet qui nous tient à cœur depuis longtemps, trouver des molécules qui vont réussir à compenser le déficit de l’enzyme, nommée HPRT, responsable de la maladie de Lesch-Nyhan. Ce déficit perturbe le métabolisme des purines qui est essentiel pour le bon fonctionnement du système nerveux. Le gène qui code pour l’enzyme HPRT est sur le chromosome X, cette maladie rare (1 naissance/250 000 en Europe) n’atteint donc que les garçons. Plusieurs formes de la maladie peuvent apparaître et notamment des formes très sévères qui s’accompagnent d’automutilations. Heureusement, il existe des formes moins sévères appelées « Variants de la maladie de Lesch-Nyhan » sans automutilation.
Irène Céballos-Picot au cours de la conférence
Les questions que se sont posés les chercheurs sont: « Pourquoi ces différentes formes alors qu’un seul gène est muté et quelles sont les facteurs protecteurs dans les formes moins sévères ? »
« À Necker, le travail a débuté en 1981 par le diagnostic biochimique puis génétique de la maladie de Lesch-Nyhan. 164 patients répartis dans 128 familles ont été diagnostiqués en France. Une analyse génétique a été effectuée pour 98 familles. Chaque patient a sa propre mutation ce qui rend le travail très complexe. Nous collaborons à l’échelon européen pour harmoniser nos pratiques. Un questionnaire clinico-biologique remis à chaque patient et leur médecin traitant en France et en Italie (Institut Gaslini à Gênes, Dr AnnaLisa Madeo) va permettre, par l’étude des réponses aux questionnaires, de comprendre l’histoire naturelle de la maladie préalable indispensable à un essai clinique. Cet échange franco-italien fut très riche lors d’une journée dédiée à la prise en charge de la maladie de Lesch-Nyhan à l’institut Gaslini en septembre dernier.
Depuis quelques années, le laboratoire Sanofi s’est investi à nos côtés dans les recherches sur cette pathologie. Nous avons mis en place plusieurs tests biochimiques permettant le criblage de milliers de molécules par un robot. 900 000 molécules ont été testées sans donner de résultat positif sur un premier test de criblage. À Necker, nous avons une banque de cellules de patients qui nous a permis de mettre au point un autre test afin de cribler des médicameents directement sur les cellules de patients en culture. Notre projet de criblage utilisant ce test a été lauréat d’un appel d’offre de la Fondation Maladies rares et a donc été financé permettant le criblage de médicaments à grande échelle sur la plateforme de criblage du CEA de Grenoble. Une molécule que nous appellerons X et une autre nommée Y ont été découvertes et potentiellement brevetables. Ces molécules rétablissent le défaut métabolique des cellules de patients Lesch-Nyhan. Nous montrons l’efficacité de ces molécules sur les cellules de 5 patients ayant des mutations différentes».
La conclusion à retenir de cette conférence est comme le dit Mme Ceballos-Picot : « Une bonne nouvelle d’avoir trouvé ces 2 molécules « x et y » évaluées positivement sur plusieurs lignées cellulaires de patients Lesch-Nyhan. Le chemin à parcourir est encore long pour aboutir à un essai clinique chez les malades car il faudra tester l’innocuité de ces molécules sur des modèles animaux de la maladie de Lesch-Nyhan. La souris et le rat mutés sur le gène HPRT n’étant pas de bons modèles car ne présentent pas de troubles neurocomportementaux, la création de nouveaux modèles animaux est nécessaire. La possibilité d’obtention d’un modèle de la maladie de Lesch-Nyhan chez les primates non humain est en discussion avec le directeur de la Fondation des maladies rares, le Pr Jean-Louis Mandel : un nouvel espoir pour tester l’efficacité de ces deux molécules.
C’est l’aboutissement d’un travail de 5 années. Merci à l’association Malaury, à l’association Lesch-Nyhan action et à la Fondation Maladies rares qui m’ont aidé financièrement dans ce travail et à mes collaborateurs de Sanofi les Dr Franck Augé et Anne Olivier-Bandini »
La remise des cadeaux et du chèque qui permettra la poursuite des recherches.
Odile vint alors rejoindre Mme Céballos-Picot : « Merci Irène pour cette belle nouvelle. Nous avons mis tout notre poids pour que vous puissiez mener à bien vos recherches. Vous avez toujours été très motivée. »
« Oui, heureusement que vous êtes intervenue à Necker pour que je puisse effectivement poursuivre mes recherches » répliqua Irène Céballos-Picot. « Grâce aux associations, on peut avoir du poids sur notre hiérarchie pour le diagnostic de ces maladies. Continuez à rester mobilisés. Vos dons sont des aides précieuses. »
Puis Odile appela les amies d’enfance de Malaury, Julie, Laura et Maëlle, toujours présentes à ces soirées qui vinrent remettre à Mme Céballos-Picot un chèque de 10 000 € pour la poursuite de ses travaux.
En remerciements, elle reçut également un beau bouquet et le livre récemment édité par l’association Histoire et Patrimoine, « Si Saint-Christophe m’était conté ».
Puis, chacun fut invité à partager le verre de l’amitié avant que les 380 convives inscrits pour les repas « faits maison » par Joël ne prennent place autour des tables dressées tout autour de la salle.
Un aperçu des convives pendant le repas.
Ce délicieux repas terminé, tous les membres actifs de l’association Malaury furent appelés sur scène par Odile ainsi que le cuisinier et les différentes personnes ayant apporté une aide ponctuelle. Joël, qui prend sa retraite et assurait ce soir son dernier repas pour l’association reçut aussi le livre sur Saint-Christophe. Puis, tous ensemble, sur l’air des Copains d’abord, ils entonnèrent une belle chanson rappelant l’histoire de la création de l’association Malaury.
Avant que les convives quittent la salle, Odile annonça : « C’est la dernière soirée sous cette forme mais, rassurez-vous, il y en aura d’autres. Nous allons réfléchir à une nouvelle formule pour l’an prochain. Merci encore à tous de votre fidélité. »
Et c’est sous un tonnerre d’applaudissements que se termina cette belle manifestation où convivialité et solidarité ne sont pas de vains mots !
Merci à Irène Céballos-Picot pour son aide précieuse dans la correction de l'article.
Contactée au printemps par Mme Delphine Roudière, membre du conseil d’administration du Crédit Agricole pour les caisses de Neuvy-le-Roi et Saint-Paterne-Racan, pour participer à la quatrième édition des Trophées Initiatives locales du Crédit Agricole Touraine Poitou, l’association Histoire et Patrimoine qui était en train de travailler à la sortie de son second livre, « Si Saint-Christophe m’était conté », a accepté le challenge et monté un dossier pour concourir dans la catégorie culture. « Les Trophées Initiatives Locales » récompensent les initiatives qui valorisent les innovations de la Touraine et du Poitou.
Cette année, 135 projets ont été déposés. En 4 ans d’existence, ce sont plus de 410 dossiers qui ont été reçus au siège du Crédit Agricole. Les dossiers étaient répartis en 8 catégories et, pour chacune d’elles, seuls deux projets furent retenus. Les catégories étaient très diversifiées et se répartissaient ainsi : action sociale et solidarité, développement durable, jeunesse, innovation économique, tourisme, culture, patrimoine, produits du terroir et gastronomie. 16 gagnants ont été sélectionnés par La Commission Mutualiste du Crédit Agricole de la Touraine et du Poitou. Un jury de personnalités a ensuite désigné 8 premiers prix parmi eux, mais les noms furent tenus secrets jusqu'à cette grande soirée de remise de prix le 12 octobre 2017 à 19h00 au siège du Crédit Agricole à Poitiers.
C’est donc dans la grande salle de conférence que les lauréats étaient réunis pour recevoir leur récompense devant un nombreux public et des personnalités du Crédit Agricole.
« Ces trophées ont pour but de donner de l’argent mais surtout de donner de la visibilité à vos projets. Tous ici, vous avez inventé, vous avez mené des projets originaux. Le Crédit Agricole est là pour aider ceux qui innovent. » C’est par ces mots que M. Régis Le Gall, directeur régional, accueillit les nombreuses personnes présentes dans la salle.
Mme Patricia Pouit, nouvelle vice-présidente, dont c’est la première participation aux Trophées, ajouta : « Notre concours est connu et reconnu. Il est ouvert à tout le monde et à des projets de tous horizons présentés par des associations, des collectivités locales, des entreprises, des start up, des étudiants, lycéens, collégiens…Les projets sont soutenus par nos 135 agences locales sur l’Indre-et-Loire et la Vienne et ces concours sont relayés par de nombreux supports. »
Ce fut ensuite M. Philippe Chatain, directeur général qui prit la parole : « Je suis très content d’être parmi vous pour ce moment de partage où on voit des gens engagés dans la vie publique et dans la vie économique. On est là pour partager de grandes idées et récompenser ceux qui ont des projets. C’est maintenant le moment des récompenses.»
Pour le président d’Histoire et Patrimoine, Philippe Larus, et ceux qui l’accompagnaient, le suspense était intense : le projet présenté avait-il été classé premier ou second de sa catégorie ? Il leur a fallu attendre que soit appelée la sixième catégorie sur scène pour connaître enfin le résultat : « 500 € ou 1000 € ?». La voix du responsable du Crédit Agricole mit fin au suspense par ces mots : « Dans la catégorie culture, le projet ayant obtenu le 1er prix est « Si Saint-Christophe m’était conté ! » Ce fut alors un grand moment de joie et d’émotion. David Bonnaud, le trésorier de l’association, s’avança pour recevoir le magnifique chèque de mille euros qui récompense le travail de cette association très active qui travaille sur l’histoire de Saint-Christophe et anime sa commune avec des conférences, des expositions et des randonnées plusieurs fois par an depuis sa création en 2001.
Les deux challengers de la catégorie culture
et les vainqueurs !
Ce résultat acquis, il restait un dernier challenge. Pour qui le coup de cœur des internautes et le chèque de 500 € ? Il revint à un groupe de lycéens du lycée Vaucanson de Tours pour son projet Distilla’sun dans la catégorie « Développement durable » pour lequel ils ont été classés 1er avec 421 clics et qui consiste à la distillation des eaux florales à l’aide de l’énergie solaire. Un bon encouragement pour ces jeunes qui seront aussi reçus à Stockholm le mois prochain pour ce même projet.
Histoire et Patrimoine a pensé que ce coup de cœur envers un projet innovant porté par des jeunes est très justifié et tient à remercier tous les internautes qui avaient soutenu leur projet par leurs nombreux clics.
Pour clôturer cette sympathique réunion, M. Odet Triquet, président du Crédit Agricole Touraine Poitou, s’exprima en ces termes : « Je suis ravi de clôturer cette réunion qui est une belle vitrine de ce que peuvent faire les différents guichets de crédit agricole, banque mutualiste en progrès constants sur le territoire et qui accompagne le milieu associatif. 12 000 associations sont soutenues tous les ans par 160 experts spécialisés en faisant le pari d’être 100% digital mais aussi 100% humain. Je vous invite maintenant à vous rendre au cocktail offert qui vous attend. »
Ce fut alors l’occasion pour les lauréats de fêter dignement leur victoire en y associant tous ceux qui, par leur travail et leur soutien, ont permis cette belle réussite !
L’association remercie également les agences locales de Neuvy-le-Roi et Saint-Paterne-Racan qui, pour la 4ème fois, ont soutenu un projet porté par une association locale du Pays de Racan après La Clarté Dieu, La journée découverte en Pays de Racan et Bouge ton bled avec le festival des Kampagn’arts. Ces récompenses montrent également le dynamisme de notre territoire. Bravo à tous et continuez à faire vivre ce petit coin de Touraine !
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