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Les femmes colombiennes confectionnent des panamas
Afin de financer des projets, grâce à des micros crédits à des femmes du sud de Colombie et pour pouvoir payer le loyer d’un local où elles puissent vendre leurs fabrications et ainsi gagner en autonomie, l’association ARTE NATIVO, organise son premier marché de Noël.
À cette occasion, par la vente directe sans intermédiaire, elle vous propose des objets authentiques et différents fabriqués par des femmes en Colombie et aussi des objets et des produits alimentaires faits par des artisans locaux qui vous attendent afin de vous proposer leurs réalisations.
Nous vous proposons une variété d’objets, des chapeaux dont « le panama » de différentes tailles et différents coloris, sets de table, sacs à mains, boites à bijoux, crèches, bijoux en paille et en céramique, décorations de Noel ; divers objets peints à la main sur des supports variés, bois, porcelaine ; de la vannerie, une diversité des paniers en osier toutes tailles et aussi des produits faits maison ; confitures, gâteaux, noix caramélisées et d’autres sucreries.
Un aperçu de l'artisanat colombien
Nous vous attendons, venez nombreux, c’est l’occasion de vous faire plaisir et faire plaisir à vos proches.
Le local mis à leur disposition par l'association Arte Nativo
Date : le 15 Décembre 2018
L’heure : de 10h à 18h
Lieu : La Chartrie, 37370 Saint Christophe sur le Nais
Contact : Hermensia MERVEILLEUX 06 86 35 99 89
Cent ans après la fin de la première guerre mondiale, tenter de dire l’indicible à travers la création d’aujourd’hui : arts plastiques, théâtre, littérature, cinéma, …
Et dans les villes et villages d’Indre et Loire, ensemble, toutes générations confondues, se réapproprier notre mémoire et notre histoire, créer pour vivre, debout, aujourd’hui et se rêver un avenir.
A l’occasion du centenaire de la première guerre mondiale, le groupe K- cie J.M. Cano Lopez, la municipalité de Neuvy le Roi sont heureux de vous informer des manifestations suivantes :
Exposition « La tranchée des gueules cassées » du 27 novembre au 1er décembre, salle du conseil de la mairie.
Exposition « le mur blanc de nos mémoires » le 1er décembre, salle du conseil de la Mairie.
Vernissage le 1er décembre 18h.
Spectacle « Lettres entre chien et loup », Samedi 1er décembre à 20h, salle Armand Moisant. 5€/ 8€/ 12€
Spectacle à partir de 10 ans. Réservation indispensable au 02.47.38.29.29
Mercredi matin, Jean-Pierre Poupée, maire de la commune, assisté de Brigitte Lamandé, sa 1ère adjointe, et en compagnie de deux autres élus, Paulette Audouin et Philippe Dorise, et de la secrétaire générale de la mairie, Françoise Vivien-Doyen, recevait M. Teissier Alain, ex-secrétaire du GNRM et son épouse, Monique, ex-trésorière de cette même association, et M. Claude Genest, représentant les anciens combattants.
Le but de cette rencontre était la signature d’une convention entre le GRNM et la commune de Saint-Paterne-Racan.
Petit historique sur l’association du GRNM (Groupement National des Réfractaires et Maquisards).
Pendant la seconde guerre mondiale, alors que notre pays est occupé par l’ennemi, Les Allemands ayant du mal à trouver de la main d’œuvre pour faire tourner leurs usines décrètent, avec l’assentiment du gouvernement français, d’enrôler des hommes et des femmes français pour les envoyer travailler en Allemagne, le fameux STO (service du travail obligatoire). Déjà, depuis la signature en 1940 de l’armistice signé par Pétain avec l’Allemagne, beaucoup de Français décidèrent de désobéir aux ordres et prirent le maquis. Cette injonction faite par l’ennemi d’aller travailler en Allemagne, fut rejetée par nombre de nos compatriotes qui refusèrent de partir et devinrent réfractaires à ce travail. De lourdes peines menaçaient aussi bien les Maquisards que les Réfractaires tant par les gouvernants français totalement inféodés à l’ennemi que par les Allemands eux-mêmes. Pour ces gens-là, ce furent des années très dures car, obligés de rester cachés car hors-la-loi, ils ne bénéficièrent pas des cartes d’alimentation ni d’aucun salaire pour aider leurs familles alors durement éprouvées.
Quand, le 6 juin 1944, les alliés débarquèrent sur le territoire français, une lueur d’espoir commença à naître mais le cauchemar ne prit réellement fin que le 8 mai 1945 avec la signature de l’armistice et la capitulation sans condition de l’Allemagne qui permit enfin aux réfractaires de réapparaître au grand jour.
Alors, petit à petit, pour que des droits spécifiques leur soient reconnus, tous ces combattants de l’ombre jugèrent nécessaire de se grouper. C’est ainsi que le GRNM vit le jour en regroupant tous les petits mouvements qui se créèrent dans le pays. Ce groupement national s’était fixé comme objectif la reconnaissance du statut de réfractaire. Ce fut chose faite le 22 août 1950 (loi n°50-1027).
Le GNRM, fidèle au culte du souvenir, avait décidé de fixer la date du souvenir au 6 juin et les manifestations se tenaient le dimanche le plus proche de cette date.
Le mémorial des Réfractaires et Maquisards de Biéné
Le Mémorial National des Réfractaires de Saint-Paterne-Racan
Il a été érigé à l’initiative du GRNM, comme beaucoup, suite à une souscription publique, sur un terrain offert par une personne de Saint-Paterne-Racan, près du carrefour de Biéné. Il fut inauguré le 15 mai 1978. Dix ans après son érection, le 6 juin 1988, une plaque fut apposée rappelant le but de ce mémorial : but qui était et est toujours, de « rappeler aux générations futures ce que fut, pendant l’occupation de la France, le combat des Réfractaires pour la Liberté, et leur refus d’accepter la loi de l’occupant nazi. À savoir que, courageusement, bien que pourchassés et traqués, répondant à l’appel du Général de Gaulle du 18 juin 1940, les réfractaires et maquisards ont tenu à prouver que la flamme de la résistance ne devait pas s’éteindre et qu’ils se sont battus au nom de la France pour la liberté dans la paix justifiant leur devise : « J’ai livré un bon combat. »
Lecture de la convention par Jean-Pierre Poupée
La convention passée entre le GNRM et la commune de Saint-Paterne-Racan
Le GNRM ayant été dissous, le mémorial de Saint-Paterne ne pouvant être laissé à l’abandon, il a été convenu que la commune continuerait d’entretenir le monument et d’y célébrer chaque année une cérémonie commémorative. C’est lors du conseil municipal du 25 octobre dernier que la délibération a été prise à l’unanimité. Pour que la commune assure cet entretien, une participation financière fut décidée par le GNRM comme cela est indiqué dans les statuts. Après la signature de ladite convention par les deux parties, Mme Teissier remit un chèque à Jean-Pierre Poupée. Puis, M. Teissier lut une lettre émanant du président du GNRM, M. Besnier, qui remerciait la commune pour cette décision qui, mentionna-t-il, fait partie du devoir de mémoire. Il rappela le plaisir qu’il avait à venir à Saint-Paterne où l’accueil a toujours été chaleureux.
Moment de la signature par les deux parties
Une nouvelle association
M. et Mme Teissier, très attachés à cette association, et ne souhaitant pas voir cesser les liens qui s’étaient créés lors des rencontres annuelles, ont décidé de créer une nouvelle association nationale « Les Amis des Réfractaires et Maquisards » pour continuer et maintenir le lien entre ces personnes avec une réunion annuelle. Ils en sont lui, le président, et elle, la trésorière.
Après ce moment d’émotion, le verre de l’amitié fut servi et les bavardages plus détendus s’échangèrent entre les différentes personnes présentes.
Lecture de la lettre du président du GNRM, signature et remise du chèque
Le conseil municipal de réunira aujourd'hui, vendredi 23 novembre, à 20 h, à la mairie.
La date de leur première représentation approchant, il était temps d’aller voir où en étaient les répétitions des Joyeux de l’Escotais afin de savoir si tout serait prêt pour le grand jour.
La présidente, Cendrine Boigard semblait assez confiante et précisa : « Là, on en est aux dernières répétitions et mises au point car la générale c’est samedi prochain. Côté décors, on est bon ! »
Ce soir-là, sur scène, les acteurs de la pièce adulte « Amour, pirouette et cacahuètes » répétaient leurs rôles dans une ambiance assez détendue mais toutefois avec sérieux. Le but, depuis toujours, est de donner du plaisir aux fidèles spectateurs et de ne pas les décevoir.
La famille de Georgio
Qu’y a-t-il au programme de cette saison 2018-2019 ?
C’est Cendrine qui nous détaille le programme.
« Cette année, la pièce interprétée par les plus jeunes en ouverture de rideau est intitulée «À fond la ferme ! » de Matthieu Berthelémé. Elle fut écrite pour primaires et collégiens et jouée une trentaine de fois en festivals, en écoles, en stages. Ici, ils seront 9 à jouer les Baby five, un groupe de pop composé d’adorables cruches qui ne savent ni chanter ni danser... À la campagne, quelques cousines s'occupent de la ferme familiale : elles sont courageuses et malignes mais l'argent manque. Et si la ferme se transformait en Thalasso top tendance pour renflouer les caisses ? Attention, Les Baby five seront au rendez-vous à Saint-Paterne ! »
Après un court entracte pour changer le décor, ce sont 6 jeunes adultes qui prendront le relais avec « La clé est sous le pot de fleurs » de Yvon Taburet. Brièvement, en voici le sujet : "La clé est sous le pot de fleurs" avait dit Jean-Pierre à son ami Stéphane. Tout heureux de profiter d'un week-end à la campagne, ce dernier débarque avec Mathilde, son épouse mais à peine ont-ils poussé la porte que les surprises commencent. Les quiproquos et les rebondissements s’enchaînant, cette pièce drôle et dynamique devrait satisfaire notre public qui vient pour se divertir.
Puis, pour terminer la soirée, après un entracte un peu plus long durant lequel la buvette fonctionnera et où des jeunes acteurs proposeront crêpes et billets de tombola, 8 adultes se retrouveront sur scène pour « Amour, pirouettes et cacahuètes » de Jean-Claude Martineau, une comédie en 4 actes qui emmènera le public loin de Saint-Paterne, au soleil de Sicile, au cœur de la Mafia. Je vous en donne un petit aperçu : « Georgio Garousi est un minable mafioso sicilien qui s'imagine être à la tête d'un empire alors qu'il ne vit que de piètres expédients. Très amoureux de sa femme Amandina qui le domine, il a toutes les peines du monde à s'imposer dans sa propre famille et ne peut compter sur son fils Luigi, crétin notoire, pour assurer sa succession et faire prospérer la mafia familiale. Quant à Fiorella, sa fille adorée qu'il croyait jalousement garder près de lui, elle s'est entichée d'un homme de la ville et doit le présenter à ses parents.
Mais pour entrer dans la famille Garousi, il ne suffit pas d'avoir fait des études supérieures, encore faut-il savoir voler et extorquer tout ce qui peut l’être ! Mais, ce gars de la ville en est-il capable ? Et si oui, pourquoi ne pas envisager une association qui rendrait Georgio Garousi, le plus heureux des hommes… »
Avec un tel programme, le but recherché par cette troupe locale devrait être atteint sans problème. Au vu des contenus et connaissant les acteurs, on peut, sans se tromper, rassurer les spectateurs qui se presseront lors des différentes séances proposées par ces joyeux drilles.
Et le naïf prétendant
Pratique
Entrée : 8 € programme compris
Calendrier des séances à Saint-Paterne : les samedis 1 et 8 décembre à 20 h 30, les dimanches 2 et 9 décembre à 14 h 30.
La séance caritative au profit de l’association « Trisomie 21 Sarthe » du théâtre La Bertoche au Mans aura lieu le samedi 12 janvier, à 20 h 30.
Toutes ces représentations auront lieu dans la salle des fêtes, espace Gabriel.
Mardi après-midi, un grand calme régnait dans l’espace multimédia. Dans son bureau, à l’entrée, Maria travaillait. Jennifer était occupée dans le Point Information Jeunesse et Ludovic se trouvait dans la salle informatique où une personne tentait d’apprivoiser une tablette récemment reçue en cadeau.
Mais, en approchant de la petite salle de réunion, quelques mots franchissaient la porte. Une dizaine de personnes, quasiment toutes retraitées, était installée autour des tables face à un « paperboard » où l’on remarquait quelques inscriptions en langue anglaise.
La professeure bénévole, Françoise Brossard, s’était portée volontaire pour initier à l’anglais des personnes demandeuses de recevoir quelques rudiments de cette langue qui s’immisce régulièrement dans notre bon vieux français. Durant la période où l’association de jumelage Racan Pocklington était très active, Françoise Brossard y jouait un rôle important du fait de sa pratique de l’anglais.
Elle confie : « Travailler avec ce groupe est agréable car il est très homogène. Tous les participants sont de grands débutants. Mais, ils sont volontaires et assidus. Nous en sommes à notre troisième leçon.»
Qu’est-ce qui a donc poussé ces personnes à se lancer dans l’apprentissage d’une langue étrangère ? Écoutons leurs réponses.
Que ce soit pour Sylvie, Françoise, Annick ou les autres, le but recherché est de pouvoir communiquer en dehors du territoire. Pour la plus jeune, c’est de pouvoir aider sa fille qui vient d’entrer au collège.
« Je n’ai jamais fait d’anglais mais je me rends compte que c’est utile quand on voyage. » « Moi, je travaille en alternance dans un centre équestre fréquenté par des étrangers, j’aimerais pouvoir communiquer avec eux. » « Il m’arrive de recevoir des Anglais dans mon gîte mais je ne peux pas leur parler. » « Pour moi, je voyage beaucoup et sans parler de langue étrangère, j’ai toujours réussi à me faire comprendre avec l’aide de gestes. Ce que je souhaite, c’est de pouvoir lire l’anglais et comprendre ce que je lis. » « Je souhaite posséder quelques rudiments d’anglais pour me débrouiller lors de mes voyages. »
On sentait une vraie motivation même si, pour certains, la prononciation n’est pas innée ! Il leur reste encore 4 séances pour améliorer leur bagage.
Ces « élèves » demandeurs ont déjà acquis un petit vocabulaire et des notions de conjugaison et de grammaire. Les cours se passent dans la bonne humeur et, comme l’a susurré Maria : « Parfois, on les entend même rire en anglais ! ».
La commune de Saint-Paterne a longtemps cherché quelqu’un pour assurer des cours d’anglais à des débutants car il y avait une demande assez importante sur le secteur. M. le Maire remercie chaleureusement Françoise Brossard de s’être proposée et d’assumer bénévolement cette fonction.
À savoir
S’il y a des personnes intéressées par des cours pour débutants, une nouvelle séquence pourrait être mise en place. Il s’agit de 7 séances de 1 h 30 (14 h 30- 16 h) pour un coût de 10 €, montant de l’adhésion au multimédia. Se faire connaître rapidement en appelant le : 02 47 29 22 04 / 06 29 67 01 60
Adultes et jeunes ayant pu apprécier les différentes activités proposées par l’association GRBueil étaient réunis dans la salle Piégu samedi après-midi pour la traditionnelle assemblée générale. Face à eux, la présidente, Brigitte Poupée, la secrétaire Lydie Descloux et le trésorier Didier Descloux étaient prêts pour présenter les différents bilans et les futurs projets.
Après avoir adressé de nombreux remerciements, excusé certaines personnes, le bilan moral et des activités fut abordé et la présidente commença par cette constatation qui emplit les organisateurs d’une grande satisfaction : « Les chemins et sentiers ne cessent d’attirer jeunes et moins jeunes randonneurs ! L’année 2018 aura été celle des records de fréquentation aussi bien pour les treks printaniers que pour les séjours d’été. L’association GRBueil a accueilli 130 participants aux différents projets proposés dans l’année. »
L’activité trekking adultes, le succès au bout du chemin
L’activité « trekking » a connu, cette année encore, une forte croissance. La programmation 2018, la dixième du genre, prévue à l’origine avec deux destinations s’est vue agrémentée d’un troisième séjour pour satisfaire les demandes de nouveaux candidats au départ, la plupart des usagers repartant d’une année à l’autre.
Ainsi, l’association a complété son offre initiale (le djebel Saghro au Maroc et les Cinque Terre en Italie) d’une troisième proposition, « un classique des GRB », la Vallée des Roses au pied du Haut Atlas marocain. Ce sont donc 34 randonneurs qui ont sillonné des itinéraires nouveaux pour chacun. Tous en sont revenus enchantés en pensant au printemps prochain.
Le Maroc avec toujours autant de succès
La randonnée Malaury
Ce vendredi 1er juin, les GRBueil ont choisi Marray pour accompagner la famille Gourdon et leurs amis. La soirée estivale a permis à 80 randonneurs de se retrouver dans la joie et la bonne humeur sur les parcours concoctés par Isabelle Bouchaud. S’en est suivi l’apéritif préparé par Roselyne Delareux, offert par l’association avant le dîner sous les étoiles tout à côté de l’école du village.
La recette de cette manifestation (444 €) a été versée pour la première fois à une association autre : Sauvons Pauline de Chemillé sur Dême.
Les séjours été
L’année 2018 a connu une hausse significative des effectifs avec un taux de remplissage de 124% au point même de refuser des demandes faute de place et fut marquée par un « rééquilibrage » quantitatif de la fréquentation enfants/adolescents.
Les deux séjours « enfants » ont permis à 45 jeunes de découvrir le charmant village de Coltines avec de nouveau un bel enthousiasme pour le séjour « découverte », programmé pour la troisième année consécutive.
Les séjours « ados » ont eux aussi attiré de nombreux candidats au départ. La programmation d’un séjour en Corse, à la demande des habitués, a rapidement affiché « complet ». À noter durant ce séjour, une évacuation par hélicoptère pour une participante qui a fait quelques malaises sérieux mais heureusement sans conséquences graves.
La surprise est venue du séjour 12/14 ans qui peinait les deux années passées à motiver le public concerné au point de faire s’interroger le CA sur le maintien de séjours pour cette tranche d’âge. Ce séjour a, cette fois, eu un beau succès avec un effectif initial largement dépassé et qui a été volontairement limité sous l’afflux des demandes.
La Corse pour les plus grands
Le bilan financier
La trésorerie est saine, légèrement excédentaire avec un autofinancement de plus de 90% sur un montant d'exercice qui dépasse les 80 000 €. Les aides apportées par les collectivités dans le cadre de leur compétence « enfance-jeunesse » s’élèvent pour la CCGCPR à 3 000 € et pour le Conseil Départemental à 300 €.
Cette année, l’association a salarié 20 saisonniers (4 directrices et 16 animateurs : 10 garçons et 6 filles).
Les projets pour 2019
3 Treks adultes : La Vallée heureuse au Maroc du 12 au 28 avril (coût maxi 950 €)
L’île d’Elbe en Italie du 9 au 17 mai (coût maxi 1250 €)
Les Cyclades Milos et Slimos en Grèce du 19 au 27 mai (coût maxi 1250 €)
Inscriptions avant le 31 janvier 2019 dans la limite des places disponibles.
4 séjours enfance-jeunesse : un séjour en base fixe, un séjour découverte d’une semaine, un séjour itinérant pour les 12/15 ans et un séjour itinérant pour les 15/17 ans. Régions à découvrir : le Limousin, la Bretagne, la Lozère. Les inscriptions se feront à la mi-mars.
La prochaine rando Malau est fixée à Villebourg le 7 juin 2019.
Contact
Tél : 02 47 24 49 60 ; mail : grbueil@laposte.net
Envahi par l’envie de faire voyager nos mots, nos voix et mieux a l’échelle internationale, « Kènèba » : le grand théâtre est un détour sur notre environnement, nos quotidiens, de nos inspirations. Les idées des textes qui pour la plupart sont recueillis dans des kiosques à café, des grains de thé d’où se racontent des faits de sociétés.
Le groupe Afrikanda
Rencontrer un autre public, une autre culture et partager des moments de réflexions, d’applaudissement, de sourires et d’émotions, reste notre motivation pour cette aventure hors du continent africain que nous maîtrisons. Un monde différent de celui que nous avons l’habitude de côtoyer fera l’objet d’un grand spectacle donc forcement sur un grand théâtre.
Kènèba (le grand théâtre) sera l’occasion pour le public français de découvrir un pan de l’art oratoire africain en particulier Burkinabé.
Pratique
Samedi 24 novembre, 20 h 30, Salle Armand Moisant
Tarif : 12 €/6 €
Renseignements et réservation ; 06 78 30 59 81
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.