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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 10:54

Pour sa première bourse aux vêtements, l'APE de Saint-Paterne-Racan, a réussi son entrée dans cette manifestation.
Soutenue par la municipalité qui a reconnu l'aspect social de l'entreprise, l'association peut de féliciter de cette initiative,
La salle des fêtes était remplie de vêtements, chaussures, matériel de puériculture. En effet, grâce à une bonne communication et une excellente organisation, 101 listes représentant 2400 vêtements et autres objets ont été déposées.
                                                                   Vue d'ensemble
Pour être sûrs de réussir, les parents n'ont pas hésité à se documenter auprès d'associations organisatrices de telles manifestations.
De la naissance à l'âge adulte, le choix est vaste.
                                                                    Côté puériculture
La bourse dure toute la journée. Vous y trouverez seulement des vêtements d'hiver.
Une nouvelle bourse est prévue au printemps.
N'hésitez pas. Allez y faire un tour. Vous pourrez vous équiper à moindre frais et aider l'APE de Saint-Paterne-Racan.

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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 09:10
Pavés sur la place
Ah ! le bel espace
Pavés sur l'estomac
C'est indigeste mon gars
Pavés dans la mare
Ah ! oui. Y en a marre.

Marre de ressasser toujours
Et toujours le même discours.
Plus d'une année s'est écoulée
Et le budget fut renouvelé.

Sur celui que nous avions voté
200 000 € il est resté.
Les travaux prévus n'ont pas été faits
Mais des non prévus l'ont été.

Il n'y avait pas forcément urgence
Pour engager de telles dépenses
Quand on est vraiment ruiné
On n'a qu'un but : "économiser !"

Du haut de son perchoir doré
Le maître des lieux a parlé :
"La commune est sur la paille"
Quoi de mieux pour la voletaille ! 
 
C'est ainsi me direz-vous
De tout temps il y eut un monarque
Et l'on se mettait à genou
De respect envers lui c'était la marque.
Les temps ont soi-disant changé
Mais les habitudes sont restées.

Photo extraite du site :www.melfisher.org/.../louisxiv.jpg
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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 15:05

À deux pas de Saumur, Le Coudray-Macouard, village de charme s'il en est, mérite vraiment le détour.
Ses belles demeures en pierre de tuffeau rappellent le riche passé de la commune.
Les belles propriétés sont entourées de hauts murs en pierres

                                                                                   Le presbytère
Nous allons nous intéresser plus particulièrement à La Seigneurie du Bois, inscrite depuis 1988 à l'inventaire des Monuments Historiques, grâce à l'Association pour la Protection du Patrimoine.

                                                                                    Le manoir du Bois XVe-XVIe
Ce manoir est en cours de réhabilitation.
Il fut construit aux abords d'un château fort bâti au XIIe siècle par Geoffroy Plantagenêt, comte d'Anjou. Durant de nombreuses années, il fut la propriété de la famille de La Cour.
Au XVIIIe siècle, c'est la famille des Escotais qui en hérite de Marthe Le Bigot de Gâtines.
Louis Jacques Roland des Escotais, fils de Michel Roland des Escotais en hérite à la mort de son père. Il est alors également propriétaire du château de La Roche à Saint-Paterne-Racan.
Il émigra en Angleterre en 1791 et ses biens furent vendus. La seigneurie du Bois fut partagée en 5 lots. Actuellement trois propriétaires différents se partagent le domaine.

                                                           La Seigneurie du Bois au début du XXe siècle








Le reste des douves


















                         
                                                       Motif sur une colonne








Entrée du manoir




























                                                                                             Une  lucarne













Le pigeonnier souterrain comptant 96 boulins
























                                                    La  tour séparée du manoir suite au délabrement de l'ensemble du logis durant de longues années









Autre lieu intéressant, l'église Notre-Dame.





Construite sur le site de l'ancienne chapelle du château fort dont il ne reste que le choeur, elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1968.
C'est au XVIIe siècle qu'elle devint église paroissiale.


Pourquoi est -elle intéressante ?


















                                                                      Pour son retable en marbre et tuffeau datant du XVIIIe siècle

et aussi pour ce personnage, frère Jean Baptiste































Mais, qui était-il ?
Le roi Henri IV, visitait régulièrement Catherine Charlotte de la Trémouille pour veiller sur l'éducation du jeune Henri II de Bourbon. Il rencontrait alors très souvent une jeune fille, Jacqueline de Bueil. Henri IV la nomma Comtesse de Moret et en fit sa maîtresse. Le 9 mai 1607, elle lui donna un fils, Antoine qui sera légitimé et prendra le nom d'Antoine de Bourbon, Comte de Moret.
Blessé au cours d'une bataille en 1632, certains affirmèrent qu'il mourut de ses blessures. Mais, recueilli et soigné par la Marquise de Ventadour, abbesse de Prouilles, il décida de quitter le monde.
Il choisit alors de prendre la condition la plus basse et la moins connue et devint ermite. Il prit tout d'abord le nom de frère Jean-Jacques pour devenir frère Jean-Baptiste, suite à une méprise.
Pour brouiller les pistes, il voyagea beaucoup et finalement arriva dans le diocèse du Coudray-Macouard où il est connu sous ce dernier nom. Il créa un ermitage aux Gardelles, près de l'abbaye d'Asnières. Jusqu'à sa mort en 1691, il fit son possible pour ne pas être reconnu.

Source dans le bois de Brossay dont l'eau parut très bonne à frère Jean-Baptiste et à son compagnon Macaire.












Vitrail de l'abbaye d'Asnières représentant frère Jean-Baptiste











Vous avez sans doute remarqué que l'histoire liée au Coudray-Macouard l'est également à celle des Bueil, d'où un grand intérêt pour tous ceux qui sont attachés à notre passé local.


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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 13:28

La prochaine réunion du Conseil Municipal de Saint-Christophe se tiendra le mercredi 28 octobre, à 20 h 30.

                                          Vue aérienne de Saint-Christophe-sur-le-Nais
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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 11:59

 


Air Touraine a créé un circuit en hélicoptère sur le Pays de Racan permettant de découvrir d'une manière originale la région.
C'est un circuit de 0h15 :
Survol de "Château de la Haute Barde, Château de Beaumont la Ronce, la Cantinière, Château de Fontenailles, Collégiale de Bueil en Touraine, Le Gué du Roi, Château de Gènes, Château du Breuil, Château de la Roche Racan, Château de la Donneterie."
                                                     La collégiale vue du ciel

tarifs : Billet : 85€/personne, à partir de 2 personnes : 80€/personne, enfant ; 70€/personne.
Ces vols s'effectuent de Mai à Septembre.

Pensez-y pour le printemps prochain !

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 14:28
"La viticulture a été introduite dans cette région fertile d'Aquitaine par les Romains et s'est intensifiée au Moyen Âge. Le territoire de Saint-Émilion a bénéficié de sa situation sur la route de pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle et plusieurs églises, monastères et hospices y ont été construits à partir du XIe siècle. Le statut particulier de juridiction lui a été accordé au cours de la période du gouvernement anglais au XIIe siècle. Il s'agit d'un paysage exceptionnel, entièrement consacré à la viticulture, dont les villes et villages comptent de nombreux monuments historiques de qualité. " Voici ce que nous pouvons lire sur le site de l'UNESCO, St Émilion étant classé au site mondial de l'UNESCO tout comme Bordeaux.

Un peu d'histoire

L'ermite Émilion toujours présent ...

C’est au VIIIe siècle qu’arrive sur le futur site de Saint-Émilion, un moine breton originaire de Vannes nommé Émilion. Cet homme, qui quitta sa famille et sa contrée pour entrer dans les ordres, fut d’abord victime des pires injustices auxquelles il répondit toujours par la plus grande bonté.

Il aménagea un ermitage dans la forêt des Combes qui recouvrait jadis l’actuel site de Saint-Emilion et consacra tout son temps à la quête de Dieu.
Il accomplit des miracles, rendant, entre autre, la vue à une femme aveugle. Il mourut le 6 janvier de l’an 767
.


Promenade dans la cité médiévale
                                                                           L'église monolithe







Le clocher de l’église monolithe

Situé exactement au-dessus de l’église monolithe, il fut construit entre le XIIe et le XVe. Le sommet de la flèche culmine à 133 mètres au-dessus de la place du marché, ce qui en fait le clocher le plus élevé de la Gironde après celui de Saint-Michel à Bordeaux.











                                                 Le choeur




























              
  Vues sur la cité








                                             Vue sur le cloître de la collégiale

L'église collégiale et son cloître

Vers la fin du XIe, un collège de chanoines fut institué pour ramener la rigueur dans les habitudes de vie des religieux Saint-Émilionnais. Il fut alors érigé un couvent avec son cloître et une église romane qui deviendra l’église collégiale. Le cloître fut reconstruit au XIVe siècle sur les ruines d’un cloître roman.











Le donjon dit “Castel Daou Rey” ou Château du Roy

Seul donjon intact en Gironde, ce donjon citadelle fut le siège de l’hôtel de ville jusqu’en 1720. De construction massive, il est le seul vestige de l’ensemble que devait former jadis le château du Roi. Cette forteresse est le symbole du pouvoir royal dans l’enceinte même de la ville libre.







                                                                             Vieilles rues
au charme indéniable que malheureusement les personnes âgées ou ayant des difficultés motrices ne peuvent apprécier pleinement.









































                                                                                           Vieux puits
















Un lavoir dans la rue de la Grande Fontaine
Quand on parle de Saint Émilion, on pense aussi à ses vins.

Un chai dans le Bordelais : château Carteau Côtes Daugay à St Émilion.
 








Les vendanges 2009 sont faites. On commence à travailler la nouvelle récolte.
Beaucoup de temps et de  travail seront nécessaires avant la mise en bouteilles.





                                                           Des bouteilles de différents crus du vignoble Bordelais.

 Saint Émilion fait partie avec sept autres communes de la Juridiction de St Émilion. Beaucoup de ces villages se caractérisent par leurs jolies églises romanes.
Saint-Étienne-de-Lisse : église du XIIe siècle

Saint-Christophe-des-Bardes :  Son église romane est remarquable par son porche du XIIe siècle









et sa statue de Saint Christophe























                  Sarcophage datant de l’époque médiévale (XIIe siècle) visible dans le cimetière de Saint-Pey-d'Armens






La découverte de Bordeaux et de sa région se termine. Je vous donne rendez-vous prochainement pour un nouveau carnet de voyage.

Je termine avec cette citation de François Rabelais :
"Le jus de la vigne clarifie l'esprit et l'entendement."

Qui en aurait douté ?

Et celle-ci : "Beuvez toujours, ne mourrez jamais".
Les temps ont changé. Maintenant, on doit dire : "Beuvez encore... mais de façon modérée". 
Sinon....

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 09:13
Du bassin d'Arcachon
À la forêt des Landes
Des senteurs de bouchon
À celles de la brande
Des rives de la Garonne
Où, des Girondins, se mire la colonne
Au bord de l'Océan
Tantôt calme et tantôt rugissant
Ma Gironde étale ses vignobles changeants
Et partout retentit son accent chantant
Qui vante les richesses de toute la région
Qu'on aille du Médoc jusqu'à Saint-Émilion.

Aujourd'hui, c'est dans le Médoc que je vous convie.
Ses crus sont renommés
Ses châteaux prestigieux
Amis, un conseil, consommez
Sans jamais abuser
Ce vrai nectar des Dieux
Pour pouvoir l'apprécier !

Je vais vous présenter quelques châteaux situés entre Bordeaux et Saint-Estèphe.
Le château Palmer, à Margaux
Le mythique château Margaux.
Le château Maucaillou à Moulis-en-Médoc.
Le château Beychevelle (Baisse voile) à Saint-Julien -Beychevelle.
Le vignoble du château La Tour.
Le château Pichon Longueville Baron.
Les chais très modernes.
Petit arrêt au port de Pauillac.
Le château Cos d'Estournel.









L'entrée du château











Et, pour finir la tournée des châteaux...







le château Mouton Rothschild, bien dissimulé dans la végétation et...













les chais du château.

Les vendanges se terminent.
2009 sera un excellent millésime !

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 17:09

Ah ! qu'elle est belle ma Gironde !
C'est bien l'avis de tout le monde.
Alors, emboîtez-moi le pas
À travers les rues de Burdigala.
Découvrons quelques sites et monuments
Incontournables, assurément.
Sur un parcours qui m'était cher
Voici ma ville dont je suis fière.


Située à deux pas du cours de l'Intendance, voici
l'église Notre-Dame (XVIIe - XVIIIe) de style jésuite- baroque
























                                              Vue de l'intérieur



Poursuivons notre promenade, vers l'esplanade des Quinconces où s'élève la colonne des Girondins














Elle fut érigée à la fin du XIXe siècle à la mémoire des députés Girondins victimes de la Terreur et la ville de Bordeaux marqua ainsi sa fidélité à la République.



























                      Le triomphe de la République                                                                Le triomphe de la Concorde

La place de la Comédie avec au fond la colonne des Girondins surmontée à 43 m du sol par le Génie de la Liberté brisant ses fers.
Sur cette place l'on peut admirer à gauche le prestigieux hôtel de Bordeaux et à droite le grand théâtre.
                                                                        La place de la Comédie, la nuit.














                         L'hotel Le Régent                                                                                          Le Grand Théâtre (fin XVIIIe)
De ce lieu, par le cours du Chapeau Rouge, nous regagnons les quais.

La place de la Bourse, ancienne place Royale (milieu XVIIIe), conçue et réalisée par Jacques Gabriel et achevée par son fils Ange-Jacques Gabriel.












Au centre de la place, la fontaine des Trois Grâces (1860).




Ce jour-là, l'eau qui coulait avait une teinte rosée en soutien au dépistage du cancer du sein.










                                                                          Le fronton de la Bourse

Face à la place de la Bourse, une réalisation beaucoup plus récente, le Miroir d'eau.
Vue sur les beaux immeubles aux façades XVIIIe qui bordent les quais et rappellent les riches heures des négociants en vin mais aussi, hélas, des négriers.

Une autre vue de cette même partie des quais. En fond, s'élève la flèche de la basilique St Michel, plus haute tour de Bordeaux (114,60 m) datant du XVe siècle.
En levant les yeux, nous pouvons remarquer que sur chaque immeuble il y a des têtes sculptées dans la pierre, au-dessus des ouvertures du rez-de-chaussée.















              































Les trois croissants entrelacés qui entourent la dernière tête sont les petites armoiries ou le chiffre de Bordeaux et ont pour origine le croissant symbolique qui figure seul dans les armes de la ville. Ils furent aussi le chiffre de Diane de Poitiers. À l'origine, le Croissant figure la courbe décrite par la Garonne devant la ville qui était nommée "port de la Lune".

En longeant les quais, nous pouvons admirer la porte Cailhau.










Cette porte appelée aussi Porte du Palais date de la fin du XVe siècle et faisait partie des remparts de la ville.
Son nom peut évoquer les cailloux (calhaus en gascon), qui étaient accumulés à ses pieds par la Garonne et servaient à lester les navires.
Mais, ce mot évoque plus probablement le nom d'une grande famille de la bourgeoisie bordelaise médiévale, les Cailhau qui vécurent aux XIIIe et XIVe siècles et dont plusieurs membres furent maires de la ville.










Face au Pont de Pierre construit sous Napoléon Bonaparte et qui comprend autant d'arches (17) que de lettres dans le nom de l'empereur, se trouve la porte des Salinières.














Cette porte appelée aussi Porte de Bourgogne date du XVIIIe siècle et fut consacrée par l'intendant Tourny à Monseigneur le Duc de Bourgogne. Sa conception se rapproche de celle des arcs de triomphe.
Elle s'ouvre sur le cours Victor Hugo qui est situé sur les anciens fossés de la ville.









En remontant le cours Victor Hugo, nous trouvons sur notre droite, la Grosse Cloche.



Elle date du Moyen Âge comme la porte Cailhau. C'est le beffroi de l'ancien hôtel de ville.
Elle est composée de deux tours circulaires de 40 m de haut. La cloche coulée en 1775 pèse 7800 kg.
L'horloge fut réalisée en 1759 sur les plans du mathématicien Larroque.


 





















À travers quelques rues du vieux Bordeaux nous rejoignons le cours d'Alsace-Lorraine pour arriver à la place Pey-Berland. Nous avons l'occasion de traverser la rue Ste Catherine, artère commerçante de 1200 m de long qui va de la place de la Comédie à la place de la Victoire.
Sur la place Pey-Berland se dressent la tour du même nom (50 m de haut) et la cathédrale St André.








Séparée de la cathédrale, la tour Pey-Berland a été construite au XVe siècle sur une commande de l'Archevêque Pey-Berland. Sa flèche fut tronquée par un ouragan au XVIIIe. Au XIXe, une statue représentant Notre-dame d'Aquitaine y fut installée.





















La cathédrale saint André, consacrée en 1096, est bâtie sur un plan en croix latine.
Conçue pour avoir quatre clochers, deux seulement ont leur flèche car on se rendit vite compte qu'elle est trop lourde pour le sol marécageux et qu'elle s'enfonce.
Du 1er édifice roman du XIe siècle, il ne reste que la nef.
La construction se poursuivit jusqu'au XVe siècle.
C'est dans cet édifice qu'eut lieu, en 1137, le mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec le futur roi de France, Louis VII.
                                                                                                        

                                                                                                                                


                                                                                                                                                    Le portail royal du 13e siècle

                                                                 La cathédrale et la tour Pey Berland

Face à la cathédrale, l'on trouve le Palais Rohan qui abrite l'Hôtel de Ville depuis 1835.
Ce palais fut construit en 1771 pour l'archevêque de Bordeaux. Au moment de la Révolution, il devint l'hôtel du département puis le siège du tribunal révolutionnaire en 1791. En 1802, on l'utilisa comme hôtel de la préfecture, en 1808, sous Napoléon 1er, il prit le nom de palais impérial, devint château royal sous Louis XVIII et ce jusqu'en 1835.                                                                   La cour intérieure


Ce n'est qu'un petit aperçu
De Bordeaux et de ses multiples vues.
Un conseil, en vous promenant
Laissez-vous charmer par l'accent.
Si vous tendez l'oreille avec votre paluche
Alors vous saisirez le parler bordeluche.




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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 12:09
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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 09:22

Comme chaque année, quand arrive l'automne, il fait bon se réunir autour d'un bon feu et, comme au bon vieux temps, passer sa soirée entre amis pour écouter des histoires.
Il faut dire que le site choisi est magnifique et le décor fourni par la cave de Gué Luneau crée une ambiance conviviale.
C'est ce que vous propose l'association "Autour de la Collégiale" de Bueil-en-Touraine.
En voici le programme :

Soirée Contes au coin du feu

 

            Samedi 24 octobre, l’association « Autour de la Collégiale » propose une soirée contes avec Nicole Bockem à Gué Luneau près du bourg de Bueil.

            « Murmures de Loire » spectacle tout public vous entraînera le long du fleuve royal parfois paisible, enjôleur ; parfois impétueux, dévastateur. La Loire marque de son sceau ceux qui peuplent ses rives ; tantôt ils la détestent, tantôt ils la vénèrent, mais elle rythme leur vie et ils restent près d’elle…

            Bernache et châtaignes agrémenteront cette soirée qui se veut avant tout conviviale.

Entrée : 10 €, adhérents : 8€, tarif réduit : 6 €

Renseignements et réservations : 02 47 24 49 20 ou 02 47 24 45 38 ou 02 47 24 49 60 entre 18h. et 20 h.).

  

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Présentation

  • : Le blog de ROYER Monique
  • : L'actualité communale de St Christophe et des communes environnantes. La vie des associations par leurs manifestations. Et la description de mes coups de cœur.
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  • ROYER Monique
  • Retraitée de l'Éducation Nationale, restée très active, aime parler et faire parler de ma commune de résidence et faire partager mes diverses découvertes.
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Présentation du village

Bienvenue à Saint-Christophe-sur-le-Nais

L'histoire de St Christophe commence aux environs de l'an mil. A cette époque, les seigneurs d'Alluye y établissent une forteresse (motte féodale) visible dans l'enceinte du cimetière. Au XIe ou XIIe siècle, un donjon en pierres est alors construit et ses ruines témoignent de l'histoire du village.

 

Ce dépliant, disponible en mairie, permet de visiter la cité et de découvrir le riche passé de notre commune.
Ci-dessous, le coeur du village, la place Jehan d'Alluye.
 


Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point contact qui nous permettra de communiquer.

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