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Petite information : une séance de cinéma aura lieu au centre socio-culturel (ex foyer rural) de Saint-Christophe-sur-le-Nais, le 26 octobre prochain. Au programme : Les gardiennes.
On en reparlera.
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Petite information : une séance de cinéma aura lieu au centre socio-culturel (ex foyer rural) de Saint-Christophe-sur-le-Nais, le 26 octobre prochain. Au programme : Les gardiennes.
On en reparlera.
Dimanche, en fin d’après-midi, les 45 peintres, sculpteurs, dessinateurs ayant déposé leurs œuvres, la semaine précédente, pour l’annuel salon qui se tient depuis 2003 dans l’église Saint Pierre attenante à la collégiale de Bueil, à l’occasion de la semaine du patrimoine, étaient pour la plupart présents dans l’attente de la remise des différents prix couronnant cette exposition de très grande qualité.
Quelques-unes des oeuvres exposées
En attendant l’heure, nombreux étaient encore les visiteurs à déambuler parmi les 150 œuvres exposées. Christian Bourdin, membre de l’association « Les Amis de la Collégiale », organisateur du salon et peintre lui-même, répondit de bonne grâce aux questions posées.
D’où viennent les artistes qui exposent à Bueil ?
Beaucoup de la Sarthe et de l’Indre-et-Loire et quelques-uns du Maine-et-Loire.
Comment les recrutez-vous ?
Dans les salons où j’expose, lorsque je vois des œuvres qui me semblent intéressantes, je propose aux artistes de venir exposer à Bueil.
Y en a-t-il qui reviennent plusieurs fois ?
Oui bien sûr car ils sont contents de l’accueil qu’on leur réserve, du cadre magnifique dans lequel ils mettent leurs œuvres en valeur. Il faut dire aussi que c’est assez rare d’avoir un site où l’on peut exposer des grandes œuvres comme c’est le cas ici.
Pour tous les prix que vous distribuez, vous avez des aides ?
La commune nous soutient ainsi que quelques sponsors. D’ailleurs, certains seront présents ce soir pour remettre eux-mêmes les prix qu’ils ont offerts.
Autres oeuvres, autres formats
L’heure approchant, le président de l’association demanda aux personnes présentes de se rassembler pour la remise des prix. Auparavant, il adressa les chaleureuses félicitations du public pour la qualité de ce 16e salon et répercuta la sensation d’enthousiasme général qui émanait de cette nouvelle édition. Il précisa que sur l’ensemble de la semaine du patrimoine, ce sont 550 visiteurs qui sont passés pour visiter la collégiale et/ou admirer les œuvres exposées.
Il passa ensuite le micro à Christian Bourdin qui appela les lauréats pour leur remettre les différents prix attribués.
Quelques lauréats lors de la remise des prix
Liste des lauréats 2018
Prix de la commune : Fourmy Anthony
Prix du Crédit Agricole : LUCAS Francis
Prix du magasin Couleurs : LASPOUJAS Christian
Prix Lefranc Bourgeois : GUITTON Pierre
Prix techniques diverses : BLANCHET Patrice
1er prix techniques mixtes : HIERET Agathe
2e prix techniques diverses : BOUHIER Hélène
1er prix de sculpture : ARNAUD Jacques
2e prix de sculpture : BARITEAU Christiane
Prix du public : HESLOIN Régis
Avant de clore cette belle semaine, Didier Descloux rappela que l’association, créée en 1998, fêtait donc ses 20 ans cette année avec la plupart des membres encore présents dans le conseil d’administration.
Un petit grignotage sous la halle réunit tous les participants heureux de la belle réussite de cette semaine consacrée au patrimoine.
Réunion du Conseil municipal,
vendredi 21 septembre, à 20 h, à la mairie
C’est devant un très nombreux public que Didier Descloux, président des « Amis de la collégiale de Bueil-en-Touraine » prit la parole samedi soir pour rappeler tout d’abord les nombreux spectacles émanant de « Sons du monde » proposés par l’association depuis 2006. « Que ce soit du Flamenco, des chants cosaques, corses, tziganes, des spectacles avec les gitans du Kazakhstan, le quatuor de femmes Soa, chacun de ces spectacles fut de grande qualité » et, pour cela, il tint à remercier la directrice de « Sons du Monde », Mme Véronique Doric. Il en profita pour annoncer qu’ « en 2019, il y aura un nouveau spectacle « Sons du monde » avec Kalynda et sa musique des Balkans.
Ce spectacle marque un moment important de la semaine du Patrimoine avec le salon de peintures, sculptures, dessins, toujours de bonne facture. Cette année, la maison du charron est ouverte à la visite et l’artisan relieur qui s’y est installé montre son travail sur des livres anciens.
Ces spectacles proposés par l’association ne peuvent avoir lieu que grâce aux aides apportées par la CCGC-PR, le conseil départemental et la Région Centre Val-de-Loire dans le cadre du Projet artistique et culturel de territoire (PACT) et à vous tous qui êtes présents ce soir. Merci à vous et très bon concert en compagnie de Mathieu Salama et de ses musiciennes. »
Un nombreux public pour un concert exceptionnel
Les deux musiciennes firent résonner leurs instruments, clavecin et viole de gambe, avant l’entrée de Mathieu Salama sous un tonnerre d’applaudissements. Ce fut alors le début d’un voyage inoubliable sublimé par la voix extraordinaire du contre-ténor sopraniste. Pendant plus d’une heure, le public voyagea dans de nombreuses cours européennes transporté par des chants contant les amours tantôt heureuses tantôt malheureuses de princes et de servantes, de dieux de l’Olympe, chants extraits de pièces musicales de Bach, Vivaldi, Haendel, Caccini, Monteverdi, Purcell... Mêlant œuvres religieuses et œuvres profanes, le chanteur « à la voix d’ange » accompagnait pleinement ses interprétations avec une gestuelle et une mimique faciale en perpétuelles mutations.
Les musiciennes seules
Chanteur et musiciennes
Mathieu Salama et sa gestuelle
L'alchimie entre la viole de gambe, le clavecin et la voix humaine, aux sonorités si proches, est une expérience musicale unique et le public enthousiasmé s’est levé pour offrir une véritable ovation au chanteur et à ses accompagnatrices à l’issue du concert.
Au sortir de la collégiale, ce n’étaient que des compliments qui s’échappaient des bouches des spectateurs impressionnés par les prestations auxquelles ils venaient d’assister. « Je suis bouleversé par cette voix… Où va-t-il puiser cette force ?... C’était vraiment admirable !… Quel concert magnifique !... Je m’en souviendrai longtemps… »
Félicitations aux organisateurs qui n’hésitent pas à programmer en milieu rural des spectacles d’aussi bonne facture. Les 130 personnes présentes samedi soir prouvent une nouvelle fois, que la culture n’est pas réservée aux gens de la ville !
Les bibliothèques d'Indre et Loire en partenariat avec la DLLP ( Direction du Livre et de la Lecture Publique) de Tours proposent un cycle d'animations Et si on en parlait : Écologie, Solidarité Impliquons nous !
Sur le secteur il y a aussi des animations de prévues à Neuvy le Roi et Chemillé.
lien vers l’ensemble du programme : https://www.lirentouraine.com/files/lirentouraine/documents/action-culturelle-2018/Et-si-2018-Plaquette_ecologie.pdf
Page 24 : il y a une erreur la présentation de Bio Énergie Touraine se fait à la bibliothèque et non pas une visite du site .
Pour ce week-end du Patrimoine consacré à l’exposition « L’art de l’enluminure » à la chapelle Saint-Gilles, ce sont 200 personnes venues des alentours mais aussi de la ville de Tours et du département voisin de la Sarthe, parmi lesquelles Catherine Lemaire, maire de la commune, André Lascaud, 1er adjoint, Emmanuelle Hocdé, adjointe en charge des associations, qui ont pu apprécier la qualité de l’exposition et la minutie du travail réalisé par l’enlumineuse.
L’intérieur de la chapelle, habillé de branchages couverts de papillons multicolores créait un écrin douillet pour accueillir les enluminures de tailles différentes et représentant des sujets variés, tous des copies sorties de livres d’heures.
La trentaine d’œuvres exposées a soulevé l’admiration de tous, connaisseurs et non initiés. L’artiste s’est prêtée de bonne grâce au jeu des questions-réponses concernant son travail. Les questions les plus fréquentes concernaient le temps passé pour réaliser une œuvre et la réponse était invariablement : « Je ne peux pas estimer le nombre d’heures. Ce sont des jours, des semaines voire des années, mais je ne travaille pas en continu dessus. Il y a du temps de préparation du matériel, des pigments, du temps de séchage entre les différents éléments ou couches. Mais, quand je me lance dans une enluminure, je suis à fond dedans et je ne vois pas le temps passer. C’est très prenant et demande une concentration telle que je fais abstraction de tout ce qui m’entoure. Pour moi, c’est une sorte d’addiction. » La loupe mise à disposition des visiteurs leur permettait d’apprécier la finesse du travail et tous s’extasiaient sur la qualité de l’exposition.
Des visiteurs très intéressés
Certains visiteurs attirés par l’annonce du thème de l’année souhaitèrent aussi connaître l’histoire de cette jolie petite chapelle créée au XIe siècle mais reconstruite au XVe siècle et, les membres de l’association « Histoire et Patrimoine », organisateurs de cette manifestation, se firent un plaisir d’en rappeler les principales dates et de conter la légende de Saint Gilles et de sa biche.
Devant la chapelle, l’association présentait ses différents ouvrages et, notamment, sa toute nouvelle production, en lien avec l’exposition, des marque-pages reproduisant quelques enluminures. Ils connurent un véritable succès.
Le stand de l'association et les marque-pages
Les jardins du Clos Saint-Gilles jouxtant la chapelle étaient également ouverts et les visiteurs ne manquèrent pas de s’extasier devant le beau spectacle qui leur était offert par les propriétaires du lieu.
L'allée du Clos Saint-Gilles et quelques roses
Un beau week-end ensoleillé qui a mis en valeur une petite partie du riche patrimoine christophorien pour le plus grand plaisir des visiteurs que l’association remercie.
Explications sur le travail de l'enlumineuse
Jeudi 20 septembre, 19h, Salle Armand Moisant
Sortie de résidence Compagnie Un Jour Aux Rives "LABOmnémo [le temps que ça nous revienne]"
Trois amis se retrouvent confrontés à leur mémoire et leur oubli. Leurs trajectoires s'entrecroisent, s'empêchent, se heurtent et s'accompagnent. Leur identité va alors s'en trouver questionnée et leurs liens d'amitié ébranlés.
Une question va alors se poser : une personne qui oublie tout son passé, est-elle encore elle-même ?
À travers l'histoire de ces trois personnages, LABOMnémo nous fait découvrir les fonctionnements de notre mémoire en nous faisant naviguer avec finesse entre la fiction et les neurosciences.
Distribution :
Mise en scène : Annika Weber
Avec : Julien Crépin, Jean-Christophe Frèche et Émilie Paillard
Auteure associée : Jennifer Lauro Mariani
Lumière & scénographie : Marinette Buchy
Durée : 1h30
Production réalisée grâce au soutien de la Région Centre-Val de Loire
Ville de Tours (37), La Tannerie (Château-Renault, 37), Le Vaisseau – fabrique artistique au Centre de Réadaptation / Cie
Vertical Détour (Coubert, 77), La Grange Vaugarni (Pont-de-Ruan, 37), La Touline (Azay-sur-Cher, 37), Salle Thélème / Service
culturel Université de Tours (37), Le Plessis Théâtre Gabriel Monnet (La Riche, 37), Centre culturel Saint-Pierre-des-Corps
(37), Ville de Neuvy-le-Roi (37).
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.