L’association Cultur’O pré, en partenariat avec le Conseil Départemental d'Indre et
Loire, la Région Centre, la Communauté de Communes Gâtine Racan notamment
Vous présente dans le cadre de la saison culturelle familiale « Public en Herbe »:
DIMANCHE 01 DECEMBRE 2024
Foyer rural– ST CHRISTOPHE SUR LE NAIS
À 17H00
Compagnie in Toto « Cirk alors »
Cirque miniature pour clown à-tout-faire
Dans un espace circulaire pareil à un cirque miniature, un clown vous ouvre les portes de son chapiteau. Entre un numéro de sacs plastiques sauvages, d’équilibre sur notes de musique, de domptage de tigre indiscipliné, de bol zen Yin pour esprit Yang, la poésie s’invite sous les guirlandes rouges et jaunes. La performance rivalise d’humour, la démesure tient, ici, dans le tout petit et tout devient enfin possible.
CIRK ALORS entraîne le spectateur dans un voyage tendre, sensible et drôle. Approchez, approchez mais méfiez-vous du tigre tout de même... !
Spectacle TOUT PUBLIC
Renseignements : culturopre@gmail.com- 07.66.19.39.24
Tarif unique de 6€ par personne sur la billetterie en ligne disponible sur le site internet de l’association
et 7€ sur place le jour du spectacle.
Actuellement si vous empruntez la voie qui part de la route de Dissay vers le Moulin Basset, vous traversez le Nais sur un pont.
Avant 1975 ce pont n’existait pas et le Nais se franchissait par un gué ; cela ne posait pas de problème aux véhicules hippomobiles, mais les automobiles de plus en plus nombreuses devaient prendre un autre parcours. Pour les piétons une énorme pierre avait été installée depuis très longtemps au dessus du ruisseau. Cette pierre existe toujours, elle a été déplacée et se trouve enfouie dans la berme de droite. C’est Jean-Pierre Perrotin qui l’a retrouvée et nous l’a montrée.
Elle mesure environ 2,40 mètres de longueur pour une cinquantaine de centimètres de largeur.
Un peu de travail pour dégager la pierre
Voici cette pierre recouverte par un tapis d’herbes.
Les images des cadastres de 1834 et 1938 nous montrent que le chemin passait bien dans la cour du moulin.
En consultant les délibérations municipales, nous y trouvons des références à ce chemin et c’est après 1975 que son tracé a été modifié avec la construction d’un pont qui, d’après Jean-Pierre Perrotin, aurait été construit par M. Bozon, maçon à Saint Christophe, à l’époque.
18 septembre 1972. Le CM accepte le déplacement du chemin rural traversant la propriété de M. Santini, au Moulin Basset.
12 décembre 1972. Le CM annule sa délibération concernant le déplacement du chemin du Moulin Basset.
27 février 1973. Le CM renouvelle son accord de déplacement du chemin traversant la propriété de M. Santini au Moulin Basset, celui-ci acceptant les conditions qui lui sont proposées.
14 février 1975. Le CM accepte les conditions de modification de tracé du chemin du Moulin Basset. M. Santini prenant tout à sa charge.
27 juin 1989. Le CM décide de faire poser des glissières de sécurité en bois sur le chemin du Moulin Basset.
23 octobre 1989. Le CM décide de poser des glissières métalliques et non en bois (coût trop élevé) sur le Chemin du Moulin Basset.
Merci à Jean-Pierre Perrotin de nous avoir rappelé cet épisode de l’histoire récente de notre commune et d’avoir "déterré" cette énorme pierre.
Elle se trouve sur le parcours du Patrimoine et pourrait donc, peut-être, être mise en valeur !
En ce dimanche automnal, la salle Gabriel a connu une effervescence remarquée. En effet, Pierre Orgeur, initiateur d’une « Fête du livre » depuis 2021, y avait convié une trentaine d’écrivains pour cette 4ème édition. Parmi eux, certains étaient des habitués, mais pour d’autres, c’était une première.
Les premiers amateurs de lecture étaient présents dès l’ouverture pour être sûrs d’y trouver leur prochain livre de chevet.
Un aperçu de la salle Gabriel
Parmi les livres présentés, il y avait un choix assez vaste entre la littérature pour adultes ou celle pour enfants. Les thématiques représentées étaient très variées : roman, poésies, histoire, documentaires, témoignages,…
Personnellement, je me suis intéressée à "l’écrivaine d’honneur" de cette année, Sylvie Pouliguen et à Jean-Michel Roux qui exposait de superbes aquarelles en lien direct avec quelques-uns de ses livres.
Sylvie Pouliguen
La cause féminine, l’histoire de la Résistance française et le patrimoine lui tiennent particulièrement à cœur. Ses livres en sont le témoignage. Son dernier livre, « Les maquisards en action », présente les différents maquis qui ont vu le jour sur le territoire français lors de la dernière guerre mondiale. Ce sujet l’a particulièrement intéressée. Elle a donc fait de très nombreuses recherches pour être toujours au plus près de la vérité. Ce travail qui lui a pris évidemment beaucoup de temps (déplacements, recherches,…) a été fait en hommage à ses parents, tous deux maquisards. Cet ouvrage, beaucoup plus vaste, complète un premier livre traitant déjà du sujet. Elle est aussi l’autrice de deux livres sur « Les Femmes tourangelles dans l’histoire ».
Jean-Michel Roux
Autodidacte, laissons-le se présenter lui-même : « Un accident de la vie m’ayant jeté brutalement à la rue, j’ai décidé de remonter la pente à travers l’écriture, mais également grâce à la peinture. Après un premier ouvrage "Les Oubliés nous parlent" portant sur la vie des Sans-Abris mis au ban de la société, un second livre "Un poète à seize heures" recueil de poésies, de pensées…portant sur le bonheur, l’amour, et des réflexions pouvant donner un sens à nos vies, j’ai publié un troisième livre "Merveilles du Patrimoine en Val de Loire". Il rassemble 40 tableaux réalisés à l’aquarelle représentant des châteaux ou édifices répartis tout au long de la Loire. »
Pour cette fête du livre, il avait amené les portraits de plusieurs des Sans-Abris qu’il avait cotoyés lors de sa période sombre avec, pour chacun d’eux un poème personnalisé et très émouvant. Ces portraits figuraient en bonne place sur la scène de la salle Gabriel et, les regards de ces cabossés de la vie ne pouvaient pas laisser les visiteurs indifférents.
Jean-Michel Roux et ses aquarelles
Encore une fois, un grand merci à Pierre Orgeur, écrivain lui aussi depuis qu’il est à la retraite, pour le travail en amont de cette manifestation qui doit s’inscrire désormais dans le calendrier des fêtes de la commune mais aussi du territoire.
Rendez-vous en 2025 pour la suite de cette animation qui a su trouver son public !
Depuis la création de l’association « Arte Nativo » en 2006, à Tours, Hermensia, une Colombienne installée dans le hameau de la Chartrie à Saint-Christophe-sur-le-Nais, ne cesse de promouvoir le savoir-faire des femmes de son pays d’origine par ce biais.
L’association, ARTE NATIVO, finance de petits projets, par des micros crédits, en faisant des prêts aux femmes pour qu’elles puissent acheter des poules, des lapins, des cochons d’Inde, des cochons et qu’elles puissent devenir « autonomes ». La vente des objets qu’elles fabriquent leur permet d’améliorer leur qualité de vie et d’acquérir une certaine autonomie financière. Cette aide leur facilite la vie au quotidien.
Deux fois par an, Hermensia, dont la famille réside toujours en Colombie, fait le voyage pour évidemment voir sa maman, mais aussi et surtout pour apporter aux femmes de l’association le pécule récolté en France avec la vente directe des nombreux objets qu’elles ont créés de leurs mains : chapeaux en paille dont le « panama », sets de table, boites à bijoux, sacs à mains, corbeilles à pain, corbeilles, bijoux, crèche de Noël.... et d’autres produits artisanaux de la région. Ces produits sont achetés au juste prix aux femmes.
Pour ce cinquième marché de Noël, les nombreux objets exposés dans le gîte de la Chartrie tenu par Hermensia et Alban, son compagnon, ont été appréciés par les fidèles qui se sont déplacés en nombre et ont pu déguster des « empenadas », spécialités colombiennes, accompagnées d’un café venu aussi de là-bas !
Ce marché, un peu en avance sur le calendrier, est devenu une manifestation incontournable du territoire et attire chaque année les amateurs de ces objets véridiques et dont la vente apporte une amélioration notable dans la vie de ces femmes colombiennes.
Au cours de l’année, Hermensia participe, au nom de son association, à quelques manifestations locales où l’artisanat colombien est toujours apprécié.
Pour refaire son stock, elle a prévu de partir prochainement dans son pays pour s’immerger dans sa culture, retrouver la chaleur familiale mais aussi se préoccuper de l’amélioration qu’elle peut apporter à la vie de ces femmes colombiennes ! Bravo à elle !
Vendredi soir, Histoire et Patrimoine proposait sa dernière conférence de l'année intitulée "Les Grands Voyageurs du Pays de Racan". Une première édition avait eu lieu l'an passé à la même époque. C’est Philippe Larus, président de l’association qui rappela brièvement les noms de ces "Grands Voyageurs" avant d'annoncer le déroulement de la soirée en ces termes : « Aujourd’hui, vous allez découvrir 2 sagas familiales : Comment quatre sœurs nées à Tahiti se sont regroupées à Saint-Christophe et comment des Vikings ont mis un millénaire à parvenir dans le nord tourangeau. »
Philippe face au public
L'un des « poilus » de St-Christophe, mort au début de la guerre, était né à Tahiti, ce qui n'a pas manqué de nous intriguer. Dès le début de nos recherches, nous avons constaté qu'il n'était pas le seul « Tahitien » sur la commune dans les premières années du XXe siècle.
L'histoire commence avec François Keck, l'Alsacien, qui doit quitter précipitamment la France en 1851, après avoir été accusé de vol. Il se retrouve à New York, puis San Francisco et enfin Papeete qu'il rejoint en 1854 ; il a 23 ans. Il épouse en 1860 Léonie Ruis, née au Mexique et arrivée à Papeete avant 1856. Lui, est serrurier et ajusteur puis forgeron ; elle, est couturière. Trois de leurs 14 enfants sont nés avant le mariage puis reconnus par François. Ils vivent près de la toute nouvelle cathédrale, non loin du port et du marché comme la majorité des Européens de Papeete.
Six extraits du journal « le messager de Tahiti » donnent une idée de la vie professionnelle de François, le forgeron, qui ferre les chevaux pour 7,50 francs par fer, en 1860, qui s'associe brièvement par deux fois à des Anglais et qui reçoit une prime de 100 francs lors de l'exposition de 1863, pour avoir construit une petite machine à gaz. En mai 1874, il devient employé au magasin des subsistances mais il est renvoyé en mars 1877 sans qu'on n'en connaisse la raison : ses démons se sont-ils réveillés ? Enfin, à 49 ans, il change complètement pour devenir restaurateur, profession très répandue à Papeete qui fourmille de nombreux petits restaurants, mais il complète ses revenus en s'affichant comme mécanicien : il est courant à Tahiti, à cette époque, d'avoir plusieurs emplois et d'en changer souvent. Se dessine alors le portrait d'un homme entreprenant, qui rebondit après une difficulté, certainement astucieux et au caractère bien trempé. mais pas très rigoureux sur l'honnêteté ! Il meurt en 1888, à 57 ans. Son épouse, qui avait déclaré ses trois aînés de père inconnu, était nommée alors Virginia, Juana, Dyonisia Delgado. Avant le mariage de sa première fille, elle obtient un jugement favorable pour que sa véritable identité figure sur tous les documents officiels, après avoir déclaré que certains événements l'avaient contrainte à fuir le Mexique et cacher son identité. Léonie gardera son mystère, car rien ne nous permet d'y apporter le moindre éclaircissement ! Elle décède en 1916 à 77 ans.
Un incendie, en décembre 1879 dans une maison de la Mission catholique, montre que le couple Keck et trois de ses filles se sont montrés efficaces pour sauver des meubles du rez-de-chaussée. De nombreux voisins sont ensuite venus à la rescousse, dont deux gendres de François et Léonie. La solidarité n'est pas un vain mot dans la petite colonie !
En effet, à cette date, deux demoiselles Keck étaient mariées, Maria, l'aînée, avec le Lyonnais Jacques Ribollet, sellier, ancien militaire, la seconde avec le Lorrain Edmond Zinguerlet, négociant, dont le frère est un ancêtre direct de Maréva Galanter, miss France 1999. Mais Edmond meurt à 28 ans. Sa femme, Henriette Keck, veuve avec deux jeunes enfants, se remarie avec Léon Longchamps, 35 ans, né à St-Christophe, officier et garde-magasin de la marine. Les deux couples, Ribollet-Keck et Longchamps-Keck sont très liés si bien que lorsque Léon et Henriette s'installent à St-Christophe dans la maison familiale de Léon, rue de la Tricotterie, Jacques et Maria les rejoignent et achètent une maison, rue des Tanneurs.
Les uns et les autres ne quitteront plus Saint-Christophe.
À Paris, en 1898, le fils aîné d'Henriette, Henri Edmond Zinguerlet, s'engage dans l'armée. Il a lui aussi beaucoup voyagé : campagne de Tunisie, du Tonkin, de Cochinchine, de Madagascar, puis retour en France au début de la Première Guerre. C'est lui, le natif de Papeete, qui est l'un des trois premiers « Morts pour la France » de la commune, ce terrible 22 août 1914, en Belgique.
Avant et après la guerre, deux autres sœurs Keck se sont retrouvées à St-Christophe. La dernière arrivée, Eugénie n'est pas restée très longtemps. Elle a résidé avec sa famille dans la maison de Maria, veuve depuis peu, rue des Tanneurs, puis est partie à Toulon.
Virginie était arrivée avant 1914 avec son mari, le Breton Mathurin Fléjo, et ses deux fils. Sa petite-fille, qui a vécu un moment à St-Christophe, a fréquenté un officier allemand pendant la Seconde Guerre. Elle avait 16 ou 17 ans. Alors qu’elle prenait des cours particuliers de piano auprès d’Élisabeth Le Port, elle a repéré des tracts dans le tiroir du bureau et a dénoncé la jeune institutrice qui est ensuite morte en déportation. Pourquoi ? Pour se venger d’Élisabeth qui lui aurait reproché de fréquenter des Allemands. Et comme si cela ne suffisait pas, la demoiselle, qui était aussitôt partie en Allemagne comme travailleuse volontaire, est revenue après le conflit en usurpant l’identité d’Élisabeth Le Port ! Évidemment, elle est rapidement démasquée. Elle est condamnée à vingt ans de travaux forcés le 20 septembre 1945 par la cour de justice d’Indre-et-Loire, mais elle est mise en liberté provisoire dès 1947 ! Elle vivra jusqu’à 92 ans, s’éteignant dans l’Eure, en 2017. Virginie, sa grand-mère, était morte à St-Christophe en 1945.
Ainsi, quatre sœurs Keck, avec leurs familles, se sont retrouvées plus ou moins longtemps en Touraine quand leurs maris respectifs sont retournés en métropole à la fin de leur vie professionnelle, et cela après une très longue navigation, sur plusieurs milliers de kilomètres, au travers de deux océans. Mais, comme on a pu le voir, aucune d'entre elles, ni aucun membre de leur famille, même né à Tahiti, n'était vraiment originaire de Polynésie !
Voici l'histoire des Tahitiens de Saint-Christophe contée par Claudie Mirault, Brigitte et David Bonnaud-Doyen assistés à la technique par Michel Mirault, tous membres du Conseil d'Administration.
À l'issue de la conférence, après quelques échanges entre les conférenciers et le public, chacun fut invité à partager le verre de l'amitié tout en feuilletant les diverses publications de l'association.
D'autres, plus curieux, se dirigèrent vers la table où David avait repris sa casquette de trésorier et proposait la toute nouvelle publication en lien avec la conférence du jour.
La nouvelle publication en vente 6 €
Et, la soirée touchant à sa fin, quelques bénévoles aidèrent au rangement pour laisser le local en parfait état.
À suivre .....
Ensemble contre l’illettrisme et l’illectronisme en Gâtine-Racan !
Avec le CRIA37, nous lançons un appel à toutes les personnes sensibles aux relations humaines et prêtes à s’engager pour l'inclusion sociale sur notre territoire. Les bénévoles seront formés à l'InterActive par le CRIA37 pour accompagner des personnes en réapprentissage de compétences de base.
Chaque matin, L’InterActive accueille, informe, oriente et accompagne en libre accès, ou sur rendez-vous l'après-midi. Ces services permettent à chacun de venir avec ses questions et projets, qu’ils soient personnels ou professionnels.
Depuis quelques années, les commerçants de Saint-Christophe et la municipalité ont pris l’habitude d’instaurer une quinzaine de jours avant Noël, un marché de Noël.
Cette année, Sandrine et Arnaud, les épiciers du village, ont eu à cœur d’étoffer ce moment magique et de proposer dès le premier samedi de novembre, un marché de Noël.
Comment leur est venue cette idée ? Écoutons Sandrine.
« Le marché de Noël, tel qu’il était, représentait une soirée de joie, de convivialité, mais ce bonheur ressenti s’avérait de courte durée sur un espace limité. Aussi, nous avons pensé que, tout en conservant ce qui est devenu une institution, nous pourrions peut-être anticiper cette date et créer un site supplémentaire pour le jour du marché de Noël commun. Comme nous avions depuis quelque temps ouvert le jardin et la véranda pour notre exposition de meubles, nous avons pensé qu’en ajoutant un barnum, nous pourrions proposer de nombreux articles de décoration autour de la fête de Noël. »
Sous le barnum
Cette réflexion ayant rapidement fait son chemin, Sandrine s’est aussitôt plongée dans des catalogues, les a « décortiqués », pour sélectionner de nombreuses références. Puis, il a fallu contacter des fournisseurs pour passer les commandes et, ainsi, ils ont réussi à rassembler de magnifiques objets de décoration peu communs qui embelliront les maisons pour les fêtes de fin d’année.
« Vous savez », ajoute Sandrine sous le regard d’Arnaud « Chaque objet a été choisi avec soin et beaucoup d'amour. Nous avons sélectionné parmi de très nombreuses références, celles qui nous semblent les plus dignes d'intérêt, les plus intemporelles et, évidemment, les plus belles. »
Dans la véranda
Pour arriver à ce résultat, Sandrine et Arnaud n’ont pas compté les heures passées à la réalisation de ce nouveau rêve devenu réalité dès ce premier samedi de novembre.
N’hésitez à y faire un tour. Vous y découvrirez peut-être la pépite que vous rêviez de posséder sans jamais y parvenir ! Ce marché de Noël sera ouvert tous les samedis après-midi de 14 h à 19 h jusqu’au 21 décembre dans l’espace Meubles et Décoration.
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.